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  • BUGARACH SPECIAL PERSONNEL AU SOL

     

    bugarach.jpg

    Le mont Bugarach situé dans

    l’Aude (sud de la France)  Pres de Carcassone

    est, dans certains milieux,

    réputé être associé à une activité OVNI.

    L’ufologue Ghislain Sanchez note, à ce propos, que le Bugarach « est soupçonné d’abriter en son sous-sol un lac gigantesque qui serait le refuge d’une base extraterrestre ». Des habitants de la région ont aperçu des lumières étranges survolant le massif rocheux, des manœuvres militaires empêchant l’accès côté sud étant fréquentes…

    Les perturbations magnétiques sont monnaie courante. Les téléphones portables « se mettent hors service lorsque l’on s’approche d’un peu trop près, ainsi que les ordinateurs portables qui se trouvent irrémédiablement endommagés ». Il est même arrivé « que des batteries des caméscopes VHS fondent littéralement !… ».

    Des membres du groupe ufologique R.A.C.E. (Rassembler, Analyser, Comprendre, Elucider) ont rencontré une femme ayant affirmé avoir rencontré des « êtres venus d’ailleurs ». Celle-ci, cependant, n’avait « pas l’air tout à fait ‘‘saine d’esprit’’ »…

    Un internaute, qui s’est rendu au Bugarach, a « grillé » 2 portables. Il a bien failli griller un troisième, seule une ligne de pixel sur l’écran ne fonctionnant plus. Il évoque un vieil homme, Jean Charlatte alias Jean de Rignies, qui vivait dans la vallée de la Sals. Celui-ci croyait qu’il y a une base extraterrestre sous sa maison, les extraterrestres étant identifiés par lui aux Elohim du récit biblique, originaires d’Orion. Malheureusement, il faisait écouter aux gens l’enregistrement du moteur de son magnétophone, bruit identifié à celui de machines rotatives extraterrestres ! L’amie de Jean de Rignies a expliqué à l’internaute comment un soir d’automne 1976, en rentrant du travail, elle et sa mère ont pris en stop « un couple d’Ummites au Bugarach », l’homme étant « d’une beauté inoubliable »…

    Autre élément à verser au dossier, la photo prise par Mijo Potier. Sur cette photo, prise près du « Pic de Bugarach », on distingue, invisible à l’œil nu, un « vaisseau-navette »

    « Plus tard, j’ai appris que dans cette région se trouvait une base extraterrestre, ceci pouvant expliquer cela. » Il s’agit donc, ici, d’une « photo-surprise », comme il y en a au Col de Vence (près de Nice).

     

    LES « REVELATIONS » DE JEAN D’ARGOUN :

    Un auteur, qui écrit sous le pseudonyme de Jean d’Argoun (son vrai nom étant Philippe Julien), est un personnage incontournable lorsqu’on évoque les mystères du Bugarach. Cet ésotériste, qui dit avoir bénéficié de toute une série de contacts avec diverses entités (psychiques et physiques), et avoir reçu des révélations sur le Graal-Cristal – je ne peux pas détailler, ici, tous ces sujets -, prétend avoir rencontré des êtres de l’Espace dans la région du Bugarach. Il est l’auteur de plusieurs livres parus chez Trédaniel : « Issahâ, la Lumière qui Vient » (réédition augmentée en 1997, avec une préface de Serge Hutin, peu avant le décès de ce dernier en 1997), « La Révélation d’Issahâ » (1998), « Bugarach, la Montagne Sacrée » (2001), « L’Ultime Secret de Rennes-le-Château » (2003). Un autre livre de Jean d’Argoun est paru en 2005 aux éditions Lanore : « Rennes-le-Château. L’Oeil de Dieu ».

    L’œuvre de cet auteur est sévèrement critiquée par certains internautes. L’un d’eux, par exemple, parle notamment de « délires conspirationnistes »… Les théories de Jean d’Argoun sont qualifiées de « fumeuses » et sont réduites à des « élucubrations ». Il est présenté comme quelqu’un qui croit « à ses propres inepties ». Il « fantasme et vit dans un monde onirique »…

    Voici néanmoins, que les écrits de cet auteur « inspiré » soient ou non authentiques, les principaux éléments de son œuvre en relation avec le sujet qui nous intéresse ici.

    Dans le livre 1, Jean d’Argoun évoque son contact (présumé) avec la projection holographique d’un être nommé « Arkâ », lequel se serait identifié à un « Ummite en provenance du système d’Altaïr». Selon d’Argoun, le Dieu des Ummites est Issahâ. Ceci, il faut le préciser, est inexact. Ceux qui connaissent bien le dossier des « Ummites » (que ceux-ci existent ou non) ne me contrediront pas. En langage ummite, Dieu se dit WOA…

    Un autre internaute fait le parallèle entre les récits d’Adamski, de Vorilhon (« Raël ») et d’Argoun. Il fait aussi un parallèle entre les textes de Jean d’Argoun et la thématique de science-fiction : « Porte des Etoiles », « armes à effets paralysants ou mortels », téléportation, impact d’un météore ou d’une comète avec la Terre, etc. Mais ces divers thèmes se rencontrent dans bien d’autres sources (channeling, rencontres du troisième ou quatrième type, etc.). Quant au parallèle fait avec Adamski et Raël, il ne concerne en fait que quelques éléments du récit de Jean d’Argoun. De plus, la ressemblance alléguée n’est pas significative. Si le récit de Raël peut être considéré comme purement imaginaire, cela n’implique pas, pour autant, que tous les récits de « contactés » le sont aussi…

    On peut évidemment penser que Jean d’Argoun ne met, dans ses écrits, que ce qui « lui passe par la tête », mais ce n’est là qu’une hypothèse qui ne doit pas être érigée en certitude.

    Intéressons-nous à ses contacts allégués avec des êtres de l’Espace dans les environs du Bugarach, et aux messages relatifs à ce dernier.

    1. Rencontres extraterrestres au Bugarach ?

    Le 18 mai 1991, Jean d’Argoun marchait seul dans une petite forêt située près de la Salse. A 23 h, il entendit un long sifflement très aigu accompagné « d’une étrange odeur d’ozone ». Un engin sphérique, avec une coupole translucide, descendit à la verticale et se posa sans bruit sur une sorte de support rétractable… Un rayon éblouissant se dirigea vers le témoin (présumé), et une ouverture se découpa dans le fuselage du véhicule. Alors apparut un être humanoïde, vêtu d’une combinaison argentée, brillante. Sur l’épaule droite, scintillait une petite lumière : une sorte de cristal vert pâle qui pulsait doucement. Son aspect physique : longs cheveux blonds, yeux bleus, visage de type nordique, traits d’une extrême finesse.

    Le témoin capta un message de type télépathique : l’être, qui s’appellerait « Arkâ », serait un « Ummite » en provenance d’Altaïr, et l’image perçue ne serait qu’une image tridimensionnelle (holographique), laquelle serait dotée « du son et du toucher » (sic). L’être expliqua qu’il ne pouvait venir physiquement sans endommager sa « structure bio-vibratoire » en raison de la présence en ces lieux d’une base occupée par des « entités négatives ». Une « bulle isolante » était censée protéger cette rencontre. La race de l’être aurait pour dieu « Issahâ ». L’être holographique tendit au témoin un feuillet (qui se matérialisa dans sa main) et précisa qu’il s’agissait des 7 « logions » avec lesquels Jean d’Argoun devait achever son livre. Le texte évoque notamment la future apparition, au sommet du Bugarach, d’un immense vaisseau spatial auréolé d’un halo orange…

    Lors d’un autre contact (non daté), Jean d’Argoun dit avoir rencontré, près du Bugarach, un être. La veille, 4 personnes avaient vu un énorme OVNI stationné au-dessus des crêtes : une grande lumière ovoïde et pulsante de nuances rouges et mauves.

    Il était 23 h lors de la rencontre avec l’être. Celui-ci, de haute taille, se présenta (toujours mentalement) sous le nom d’« Orthûs », lequel serait l’un des « 7 Veilleurs du Bugarach ». Il était grand, svelte, vêtu d’une combinaison argentée. Il appartient, dit-il, à une race extraterrestre protégeant la planète contre les visées maléfiques des « Gris » (dont le vrai nom serait « la race maudite des Azriâs »). Un objet aurait surgi des mains d’« Orthûs » : un gros cristal mauve. Ayant pris la pierre en main, Jean d’Argoun se sentit comme aspiré dans sa structure interne, et il se vit dans un temple souterrain, en toge bleue azurée, posant ce cristal sur le front de 77 personnes ou « initiés »… (3)

    En mai 1998, Jean d’Argoun se trouvait au Bugarach avec un petit groupe de personnes. Vers 2 h du matin, un point lumineux se mit à grossir et à se rapprocher, ce point de lumière devenant un cercle bien découpé de couleur orangée qui ne cessait de se rapprocher :

    « Ce que nous avons sous nos yeux émerveillés est un vaisseau, une immense structure de lumière qui flotte en silence dans la nuit. J’observe des centaines de hublots circulaires et des baies translucides alignées géométriquement le long de son fuselage…

    Au centre de cette énorme nef apparaît un cercle opalescent plus petit qui se met à pulser une lumière violette très agréable au regard…

    Un rayon en jaillit et nous enveloppe d’une aura luminescente de nuance mauve pâle. C’est alors qu’une sorte de Voix se fait entendre dans notre cerveau, une voix douce mais très profonde : le message que nous recevons est perçu – je le sais – par nous tous… »

    Cette « Voix » déclara être « un envoyé d’Arkâ ». Elle annonça que le maître « Nemrod-Yhwh » allait reprendre un corps sommeillant pour le moment au cœur du Pic de Bugarach, « à l’intérieur d’une ancienne nef oubliée »…. (4)

    Ceci est la version 2001. Dans la version 2003, le groupe des 7 personnes présentes évoquées est réduit à 3, et les centaines de hublots de l’engin sont devenues des dizaines… Jean d’Argoun nous parle d’une grande sphère verte avec une belle luminescence dorée autour. Le message mental évoqua la planète Arkâ, ses habitants utilisant, pour venir sur Terre, « un tunnel de lumière baptisé Vortex dimensionnel ». Jean d’Argoun apprit qu’il avait vécu « il y a des éons » sur Arkâ (une planète des Pléiades), cette origine étant aussi celle des 2 amis présents (un homme et une femme prénommée Patricia)… (5)

    On l’aura compris, Jean d’Argoun fait partie de ceux que les ufologues appellent les « contactés », ceux qui disent avoir été contactés par des extraterrestres pour une mission de divulgation d’informations. L’origine « ummite » évoquée plus haut (à propos du premier contact allégué) n’est, pour qui connaît le dossier Ummo, pas vraisemblable. Ceci dit, il ne m’appartient pas de juger l’ensemble des propos de cet auteur, dont je ne donne ici, du reste, qu’une petite partie (associée au Bugarach).

    Dans son quatrième livre, Jean d’Argoun évoque d’autres observations qui auraient été faites dans la région du Bugarach. Selon lui, un satellite espion de la NASA serait, depuis 2001, en un point fixe au-dessus des Pyrénées françaises, et il enregistrerait toutes les variations sismiques de la région. En haut lieu, aux Etats-Unis, des instances secrètes (les « Illuminatis ») connaîtraient l’existence du vaisseau enfoui. Des agents seraient présents sur le sol languedocien sous des apparences paisibles et discrètes. Une amie décédée de Jean d’Argoun, Patricia (mentionnée ci-dessus), vivait en ermite sur un mont situé face au Pic de Bugarach :

    « A des périodes bien précises de l’année, des nefs silencieuses, d’aspect cylindrique, apparaissaient subitement au-dessus de sa maison et restaient en suspension parfois de longs moments dans la nuit… »

    Une nuit de mai 1996, alors qu’elle parcourait les collines en solitaire, elle croisa un groupe d’hommes étranges, vêtus d’uniformes qui ne correspondaient pas à ceux de l’armée ni à ceux de la police :

    « Chaque personnage portait une casquette à visière et une tenue noire avec le symbole grec Epsilon, gravé sur la poitrine en caractères dorés. Nullement intimidée, elle leur demanda la raison de leur présence en ce lieu désert. Un des êtres, au visage olivâtre, avec des yeux curieusement bridés, lui retourna la question dans un français un peu saccadé et lui répondit que son groupe recherchait de l’uranium. Patricia lui dit, avec une pointe d’ironie, que ce genre de prospection est peut-être plus commode et plus fructueuse en plein jour…

    Avec la même ironie, l’être lui répondit que la particularité de l’uranium est de briller la nuit… »

    Un autre être du groupe déclara que ce site est d’une grande importance et qu’il n’est pas conseillé de s’y aventurer seul.

    « Patricia fut invitée à retourner sur ses pas et à ne pas se retourner. Ce qu’elle fit quand même quelques minutes plus tard. Elle s’aperçut alors que l’étrange groupe avait disparu et observa un engin bizarre de forme cylindrique qui s’élevait – en silence – vers le ciel étoilé. »

    Ce type de personnage fut aussi croisé, en juin 2000, par Jean d’Argoun, alors qu’il traversait une partie de la forêt de Sougraigne, qui s’étend de Rennes-les-Bains jusqu’au Bugarach. Cette forêt, écrit-il, est propice en rencontres et découvertes mystérieuses. Des millénaires plus tôt, elle abritait – selon certaines légendes locales – une ethnie inconnue : le Peuple des Châtaigniers, dont aucun vestige archéologique n’a jamais été retrouvé… L’être croisé par Jean d’Argoun « avait l’apparence d’un promeneur, d’un randonneur accompagné d’un chien ». Ses yeux avaient les pupilles très dilatées, comme celles d’un chat.

    « Aussitôt, avant que l’étrange personnage s’éloigne vers un buisson, Jean d’Argoun reçut une sorte de message télépathique, disant en substance : ‘‘Je suis – avec les autres – un auxiliaire, un serviteur des Gardiens de Nemrod. J’assure une surveillance de cette zone…’’ »

    Une autre nuit, alors que Patricia accompagnait un groupe de Jean d’Argoun, au sommet du Bugarach, un escarpement rocheux s’illumina et, aussitôt, « 12 petits cônes brillants d’aspect orangé » apparurent « en se déplaçant dans le plus grand silence ». Ils flottèrent doucement au-dessus des aspérités rocheuses. Une personne clairvoyante, présente sur le site, tenta de nouer un contact psychique avec les 12 cônes. Elle entendit une voix subtile disant : « Nous sommes les Gardiens ». Les cônes diminuèrent d’intensité et s’estompèrent peu à peu dans les roches.

    Une autre nuit, Patricia aurait vu la montagne paraissant « devenir transparente, diaphane, et irradier de l’intérieur une immense lueur verte, d’un beau vert émeraude ». Elle aurait perçu, mentalement, une voix cristalline, douce et profonde, qui aurait annoncé : le temps est arrivé. Le soir précédent, un énorme orage avait illuminé toute la région des Corbières. Plusieurs personnes auraient vu un grand OVNI survoler lentement la chaîne montagneuse… (6)

    2. Le Bugarach : une montagne sacrée ?

    Le 3 juillet 1996, vers 23 h, « la conscience d’Issahâ » (sous la forme d’une « belle sphère verte avec un œil doré au centre ») aurait révélé à Jean d’Argoun que son futur support de chair (celui du « Messie »), qui était censé se manifester entre 1996 et 2004, se trouve caché depuis des millénaires au cœur du Bugarach. Le corps reposerait dans un vaisseau (un vimana) contenant « tout l’antique héritage scientifique, culturel et spirituel des Atlantes depuis 12.000 ans »… Ce corps extraterrestre serait donc en léthargie à l’intérieur du Bugarach. Ce Pic, désigné aussi par l’expression « la montagne rousse », abriterait un Vortex, « La Porte des Atlantes ». C’est de ses flancs qu’était censé sortir, entre 1999 et 2003, le vaisseau lumineux de Sadrihanâ… (7)

    La nuit du 17 mars 1996, une entité (ayant l’aspect d’un scribe égyptien), nommée « Léhâ », aurait révélé à Jean d’Argoun que le Bugarach est « la montagne sacrée de la prochaine révélation » et recèle en ses flancs une grande nef enfouie là depuis 9000 ans : un vaisseau issu de l’ancienne Atlantis oubliée.

    Cette nef serait ovoïde et aurait un diamètre de 300 mètres. A l’intérieur, « au cœur d’un métal inconnu et indestructible », se trouverait « une sorte d’œuf, un cocon » abritant un corps en léthargie, lequel serait le « dernier roi d’Arkâ ». Il est identifié au « Messie Sadrihanâ »…

    Le champ magnétique du vaisseau est censé provoquer un séisme de grande intensité, et une immense colonne lumineuse apparaîtrait : un cône orangé qui s’élèverait dans l’axe de la montagne jusqu’à 3000 mètres d’altitude…

    Ainsi, le vaisseau d’Arkâ (la « grande nef des Néphilîm ») se trouverait à l’intérieur du Bugarach ou « Tislûr ». Ce sont des émissaires du sage « Thôsz » (une incarnation atlante de Jean d’Argoun) qui auraient caché cette immense nef, avec des archives secrètes, dans le Mont Tislûr (parfois orthographié « Tishlûr »). A l’époque, une belle cité aurait été créée au pied de la future montagne sacrée, cette cité ayant donné naissance, par la suite, au mythe du Paradis terrestre, du Jardin des Hespérides, et à la légende de l’ancienne Arcadie… Au Bugarach, les Atlantes auraient aussi ouvert un « tunnel dimensionnel », une porte vibratoire sur un autre univers (un « monde fractal ») avec lequel ceux-ci auraient pris contact grâce à certains cristaux…

    Le « Tishlûr » serait le mont Hermon de la fin des Temps. Un initié capable de clairvoyance pourrait percevoir « des millions de petites cases bleues et or, d’aspect ellipsoïdal ». Il s’agirait d’un Vortex qui s’ouvrirait tous les 25.000 ans… Ce mont recèlerait aussi le secret « de la vraie Menorah recherchée depuis des siècles par la Diaspora Juive », dont le vrai nom serait « Hanoukah, le chandelier gnostique à neuf branches lié au rituel des neuf bougies », ce chandelier étant « la signature multi-millénaire des ‘‘Anges’’ de la planète Arkâ ». (8)

    Dans son quatrième livre, Jean d’Argoun évoque la « réactivation finale du vaisseau enfoui qui est l’Arche du roi Nemrod », le « premier souverain de la race humaine » étant prêt à s’éveiller de « son long sommeil multimillénaire »… Cet objet antédiluvien girait au cœur d’une immense géode naturelle au sein du Bugarach, lequel a reçu, au fil du temps, des appellations diverses : le Mont Hermon, le Tislur, le Mont des Borreps, la Porte des Atlantes, la Porte de Nisnahâm. La nef enchâssée au cœur de la Géode a été également diversement désignée :

    – Vaisseau d’Arkâ.

    – Maison des dieux.

    – Arche du roi Nemrod.

    Jean d’Argoun dit avoir une image précise du vaisseau, grâce à la clairvoyance et la projection psychique.

    Le vaisseau du roi Nemrod aurait l’apparence d’une énorme sphère verte, « lisse et sans la moindre aspérité ». Un champ de force de nature électromagnétique en assurerait la protection « contre d’éventuels séismes ou mouvements de nature tectonique ». Selon Jean d’Argoun, l’intérieur du vaisseau se divise en 3 niveaux superposés :

    1. Le niveau le plus bas serait constitué d’une machinerie très complexe, d’un appareillage cristallin. C’est celui-ci qui aurait permis à la nef de venir sur Terre, grâce à « une manipulation de l’espace-temps ».

    2. Le deuxième niveau de la nef comporterait des centaines de salles et de pièces d’habitation destinées à la vie de l’équipage d’origine (composé, selon Jean d’Argoun, de 777 êtres). Ce niveau est, aujourd’hui, totalement vide et désactivé.

    3. Le troisième niveau (le plus élevé), positionné juste sous le dôme, serait occupé par des centaines de sarcophages qui seraient, en fait, des caissons d’hibernation, « avec des blocs de régénérescence pour un retour à une vie normale ». Ces sarcophages seraient disposés en 7 cercles concentriques autour d’un grand sarcophage central qui en constituerait l’axe symbolique.

    « Au sein de ce dernier repose – depuis des éons – le roi Nemrod qui se nomme aussi Yhyh. Le cénotaphe est animé en permanence d’une sorte de brume, une luminescence verte qui pulse selon un rythme précis. L’ensemble est orné d’une écriture cunéiforme qui fut à la base des anciennes langues sumérienne et égyptienne. Le matériau qui compose cet ensemble est l’ancien orichalque connu des Atlantes… »

    Le mode d’ouverture de l’Arche serait lié à une empreinte génétique très particulière, une empreinte digitale qui devrait être « en phase avec le protocole vibratoire conçu, jadis, par les ingénieurs de l’Arche ». Cette empreinte correspondrait à celle du futur « Grand Monarque » (annoncé par d’anciennes prophéties). Celui-ci devrait appliquer la paume de sa main à la surface d’un cercle violet, et un son particulier, phonétisé MEXEM, devrait être prononcé sur un clavier digital en cristal « qui le restituera avec sa sonorité précise ».

    C’est à l’intérieur du grand sarcophage d’Orichalque que reposerait en léthargie le corps du roi endormi, en état de vie suspendue.

    Jean d’Argoun annonce une future opération Diotima, consistant en une évacuation extraterrestre, cette opération étant censée se produire un peu après le réveil du roi Nemrod. L’axe de ce gigantesque plan d’évacuation serait coordonné à partir de la montagne du Bugarach… (9) On notera que ce thème de l’évacuation planétaire (consécutive à une catastrophe planétaire) est présent chez de nombreux « contactés », channels ou « abductés »…

    Dans un ouvrage publié en 2005, Jean d’Argoun a apporté d’autres précisions sur la nef censée se trouver sous le Bugarach. Il prétend avoir rencontré « Monsieur Thôt », celui-ci étant censé être le comte de Saint-Germain (que l’auteur nomme aussi « Orthôg Mathev »), le célèbre alchimiste du dix-huitième siècle ! Voici les informations que « Monsieur Thôt » aurait révélées à Jean d’Argoun à propos du vaisseau spatial enfoui sous le Bugarach :

    La nef se trouve enchâssée depuis 15.000 ans dans une géode naturelle située au cœur de la montagne. Elle est indétectable aux sondages car sa structure n’émet aucune radiation particulière. Tout l’intérieur de la géode est tapissé d’un genre de céramique avec un éclairage perpétuel. Chaque centimètre carré est éclairé et pourtant il n’y a aucune source de lumière visible.

    « On a l’impression que les murs, le sol et la voûte luisent. Cependant il n’y a aucune ombre nulle part. Par contre, l’ombre d’une personne peut apparaître sur le vaisseau lui-même avec un décalage d’une demi-seconde dans son déplacement. »

    L’alliage de la nef est sensible à la chaleur et au froid. Ce vaisseau a une forme ellipsoïdale, sphérique, de couleur vert pâle, et son mode de propulsion serait assimilable « à un moteur à rétention à fusion électromagnétique ».

    « Ce moteur fonctionne comme une sphère magnétique à l’intérieur de laquelle se trouve contenue la force du Soleil ou d’une bombe H en perpétuelle détonation. La seule image pour comprendre cela est sans doute celle des trous noirs du cosmos qui peuvent engloutir toute une galaxie pleine de Soleils en leur point de singularité. Un trou noir n’a aucune difficulté à contenir une telle énergie de fusion. Mais par quel procédé inouï ce vaisseau peut reproduire ce phénomène à une échelle plus réduite ?

    Monsieur Thôt a révélé qu’il existe une façon mathématique de créer artificiellement un micro-trou noir synthétique en se basant sur une conception en forme de huit. Une fois stabilisé, il implosera toujours et se consumera sans rien entraîner derrière lui. »

    La coque et l’intérieur du vaisseau ne comportent ni vis, ni rivet, ni cordon de soudure. La nef du roi Nemrod a jadis été construite en apesanteur, c’est-à-dire dans l’Espace, à l’extérieur d’une planète.

    Le revêtement extérieur de la nef est toujours chaud et lisse comme une peau de bébé. Sa souplesse est stupéfiante au toucher qui provoque, aussi, l’apparition de volutes vertes et blanches qui descendent dans la coque du vaisseau. Il s’agit d’un phénomène semblable aux longueurs d’ondes d’un oscilloscope. On peut observer des sortes de vertèbres qui bifurquent, en cascades, semblables à des fibres. Cela ressemble à des câbles de fibres optiques remplis d’un liquide, mais il s’agit de tubes très minuscules. Des millions de ces choses descendent en cascade sur la coque du propulseur. Cela ressemble à des schémas de synapses neuronaux.

    A l’intérieur du réacteur de la nef se trouvent des cristaux géants. Monsieur Thôt a précisé que le « moteur » est équipé d’une sorte de système de ventilation qui permet de déverser un plasma via une zone ressemblant aux branchies d’un requin. L’ensemble est une vaste structure vivante, une symbiose entre l’organique et l’inorganique. C’est un oxymore, un être pensant qui autorégule lui-même son champ de confinement à cristaux. Il est sensible aux ondes mentales de ceux qui s’en approchent.

    On trouve, au cœur du vaisseau, un œuf de cristal abritant, depuis plus de 15.000 ans, un corps en léthargie. Il s’agit du corps « cryogénisé » du roi Nemrod, présenté comme étant le premier créateur de la race humaine. Son nom est YWYW et son corps d’aspect humain est en état de vie suspendue.

    A environ 2 m du sarcophage d’hibernation, il y a le « Tétratoèdre », un cristal en forme de « pyramide carrée », lequel constitue le cœur énergétique de la machinerie. Il pulse en permanence une douce luminescence verte irisée. Ce « Tétratoèdre » est l’œuvre des anciens Néphilîm…

    Il y a, dans une autre partie de la nef, un escalier en hélice qui conduit à une soute dans laquelle se trouvent des centaines de robots désamorcés, des androïdes à l’image de leurs anciens Maîtres. Alignés par rangées de 50, ils constituaient jadis une unité d’intervention en territoire inconnu.

    « Ces androïdes, baptisés Andros, sont conçus pour effectuer des travaux serviles. Ils réagissent aux ondes biologiques et mentales d’un être humain. Le cerveau symbiotique mis à part, ils sont absolument pareils aux hommes. En laboratoire, sont reconstituées les cellules exactes d’un corps humain autour d’un cerveau électronique perfectionné. Ces Andros peuvent répondre à n’importe quelle question et demander des ordres. Seulement ils ne sont pas dotés d’une conscience. Les robots sont omniprésents à l’intérieur du vaisseau et pourraient s’activer automatiquement si un danger se présentait à l’extérieur ou à l’intérieur de la géode naturelle. »

    Il existe, à l’intérieur du vaisseau, d’autres salles compartimentées, reliées par des coursives en cristal. On trouve, dans ces salles, des robots plus rudimentaires, certains étant de véritables robots de combat doués de réflexes humains. A l’origine, ces cybernautes avaient pour mission de coloniser des planètes inconnues, hostiles et peuplées de formes de vie dangereuses.

    Les scientifiques de la planète Arkâ ont créé une élite, la population étant moins nombreuse que sur Terre. Les basses besognes sont effectuées par des androïdes (des Andros), des êtres artificiels ou robots biologiques ayant un aspect humain. Lorsqu’ils sont activés, ils paraissent réellement vivants en dépit de leur chair faite de matière plastique. Il suffit, pour les activer, d’appuyer sur une petite touche digitale couleur de nacre située sous l’oreille droite. (10)

    A noter que le « contacté » se contredit sur certains points :

    – Les centaines de hublots sont transformées ultérieurement en dizaines de hublots, et les 7 personnes présentes deviennent ensuite 3 personnes.

    – Le « vimana » est censé se trouver dans le Bugarach depuis 9000 ans, puis on apprend qu’il est là depuis 15.000 ans.

    MA VISITE AU BUGARACH :

    Je me suis rendu au Bugarach, en compagnie de 2 autres personnes, du 31 mai au 2 juin 2004.

    Nous n’avons pas bénéficié de grâce qui, à défaut d’être divine, aurait pu être extraterrestre, voire intraterrestre ! Nous n’avons vu aucun OVNI et les photos étaient normales. Donc, pas de « photos-surprises ».

    Lors de notre montée au Bugarach, nous avons tout au plus entendu (et vu pour l’un de mes collègues) un avion de l’armée. Par contre, mon petit appareil photo s’est bloqué alors que j’essayais de prendre une photo, au pied du Bugarach, de paisibles ruminants. J’avais fait l’acquisition de cet appareil au début des années 1990 et je n’avais jamais eu de problème avec. Il a fallu que je me rende au Bugarach pour que celui-ci finisse par devenir non utilisable ! L’appareil numérique de mon collègue a, lui, très bien fonctionné.

    Lors de notre arrivée, un restaurateur nous a montré une photo prise par un touriste, photo qui est vendue sous forme de carte postale (que je me suis procurée). On voit sur cette photo, prise en 2001, quelques structures triangulaires, dans le ciel et en plein jour. S’agit-il d’OVNIs ? Le même restaurateur nous a dit que quelques semaines auparavant, on avait vu un nuage noir à l’intérieur duquel on pouvait voir un triangle blanc. Il nous a parlé de Jean d’Argoun et de ses visites guidées… Et il nous a confirmé que Steven Spielberg s’était inspiré du Bugarach pour son film « Rencontre du Troisième Type » !

    La veille de notre départ, alors que nous nous trouvions à Rennes-le-Château, mon attention a été attirée par une discussion « de comptoir » dans laquelle les personnes parlaient notamment du Bugarach et de « soucoupes volantes ». Cela devenait un peu intéressant, car je me voyais partir (il y avait quand même, le lendemain, la montée prévue du Bugarach, avant le retour chez nous) sans avoir glané quelque chose de vraiment significatif sur un site associé aux OVNIs, ce qui aurait été frustrant ! Mes 2 collègues, eux, étaient venus pour « méditer » au sommet du Bugarach, mais, pour ma part, c’était du concret et du tangible que je voulais ! Justement, alors que nous allions prendre congé, j’ai discuté un peu avec le restaurateur à qui j’ai signalé mon intérêt à propos du sujet OVNI, ainsi que notamment mon travail sur un livre relatif aux OVNIs, dont un chapitre serait consacré au Bugarach. Il m’a alors précisé qu’il connaissait quelqu’un qui voyait souvent des OVNIs. Il s’agit d’une dame habitant à environ 2 km du Bugarach, laquelle a pris des photos (dont une montrant une « soucoupe »). Il est parti au comptoir pour me donner les numéros de téléphone grâce auxquels je pourrai joindre la dame, qui est une amie à lui ! Malheureusement, nous devions partir dès le lendemain, et il ne m’a donc pas été possible de prendre contact avec cette dame…

    RAMATHIS-MAM :

    En 2004 est paru chez Ariane un fort intéressant ouvrage intitulé : « Révélations d’Arcturus ». Le channel espagnol ayant canalisé les informations provenant des sources extraterrestres concernées est connu sous le pseudonyme de Ramathis-Mam. Voici ce que l’on peut lire à propos du mont Bugarach :

    « Ajoutons quelques mots sur ce lieu. Autrefois une base souterraine de la Confédération, il a été abandonné pour des raisons de logistique et de fonctionnement. Toutefois, à cet endroit se trouve un grand modulateur d’énergie qui sert à capter, à distribuer et à relier la radiation cosmique que la Confédération est en train de distribuer aux différentes villes souterraines et bases marines qui sont nôtres sur votre planète. » (11)

    CENTRE ENERGETIQUE ET VILLE SOUTERRAINE :

    En 2004 est paru, également chez Ariane, un livre dont le contenu a été transmis à une jeune channel française, Nathalie Chintanavitch : « La Délivrance par le Soleil ». Les intervenants (ou sources « canalisées ») sont Chandra, Hildon et Flex, de la « civilisation ascensionnée Inca ».

    Voici un passage de ce livre :

    « Très prochainement, vos guides vous mèneront vers deux centres énergétiques sous lesquels sont établies deux villes souterraines qui oeuvrent actuellement pour les hommes de la Terre. Ces centres sont situés dans la chaîne montagneuse que vous appelez les Alpes. Un troisième s’ouvrira également sous vos pieds, dans une région que beaucoup connaissent déjà, au pied des Pyrénées dans le sud de la France. » (12)

    Ce troisième centre correspond probablement au Bugarach.

    BASES EXTRATERRESTRES :

    Terminons en précisant que les Pyrénées semblent d’ailleurs plutôt bien « loties » en matière de bases extraterrestres :

    Le 18 août 1979, le « contacté » français Pierre Monnet a reçu l’information suivante :

    « … Nous avons des bases dans les Pyrénées et du matériel important dans les sous-sols du Mont Ventoux. » (13)

    Certains spécialistes américains de la « vision à distance » (clairvoyance de lieux et d’événements éloignés) ont eu des visions non seulement d’OVNIs, mais aussi de bases « aliens » souterraines. L’une de ces bases a été localisée dans le versant espagnol des Pyrénées, au Monte Perdido :

    « Base protégée par des systèmes d’alarme qui la rendent indécelable. ‘‘Unités locales’’ (?) avec des systèmes ‘‘em’’* artificiels. Selon Skip Atwater, c’est une base principale d’où partent des ovnis en opérations. » (14)

    (* Je suppose que ‘‘em’’ est l’abréviation pour ‘‘électromagnétique’’.)

    Alain Moreau – Source : www.mondenouveau

    Depuis quelques années (1999), Jean d’Argoun, contacté par voie télépathique et par des personnes physiques se disant de certains ordres mystiques dérivés d’origine extraterrestre depuis la nuit des temps, a écrit une série de livres sur le sujet de Rennes le Chateau et de ses environs.

    Ce qu’il affirme peut se résumer comme suit:

    • Jésus Christ n’est pas mort sur la croix, mais c’est son frère jumeau dont l’existence a été cachée qui l’a fait à sa place, pendant que Jésus partait en exil vers la Gaule aux côtés de Marie Madeleine. Il a eu une descendance avec elle, et cette descendance a eu une revendication légitime pour le trône de la France par le passé, faits connus des templiers et des cathares qui remettait en cause la légitimité des monarques du passé, et qui a valu à ces groupements leur destruction par ces mêmes monarques en danger. Le tombeau de Jésus et Marie Madeleine (tombeau d’Arcadie) sera selon lui découvert dans la région, il précise le lieu, suite à un tremblement de terre qui aura lieu à Quillan et révélant l’accès à une caverne (il raconte ceci d’ailleurs comme une vision dans le futur, un reporter qui irait visiter le tombeau); écroulant ainsi complètement l’édifice de la religion catholique au niveau mondial; après que les preuves aient pu être faites de la véracité de ce tombeau.
    • La raison pour laquelle Jésus et Marie Madeleine (dont le tombeau est en région Audoise près de Rennes le chateau, Jean d’Argoun décrivant même le lieu exact de son emplacement) est que cette région a été le paradis de jadis, la terre d’Eden de la bible. En effet, c’est l’endroit où Yahvé (le tétragramme hébraïque), qui serait le chef d’un groupe d’extraterrestre essayant d’apprendre le rôle de « Dieu » en essaimant la vie dans l’univers, aurait implanté le groupe d’humains initialement modifié prélevé parmi les humains natifs de la Terre, auxquels il aurait fait subir des modifications génétiques pour en améliorer l’évolution. Sa souche initiale « Adam » et « Eve » aurait été implantée dans la région du Bugarach, et il aurait élu installation sur le pic du mont Bugarach. Ce même mont Bugarach serait aussi un autre nom du mont Sinaï (celui des tables de la loi), dont l’emplacement aurait été en Gaule et pas du côté de ce qui est Israël aujourd’hui. Une nef extraterrestre contenant le corps endormi en stase de Yahvé serait enterrée dans les profondeurs du Bugarach, en attendant une réactivation pour le « jour de la fin », qui est le jour où Yahvé récupère sa « semence » (le peuple juif originel; mais aussi ceux des humains qui ont atteint une évolution spirituelle telle qu’il l’avait prévue pour son peuple si les choses s’étaient passées comme il l’avait souhaité; et qui n’ont aucune origine hébraïque du tout) pour l’envoyer vers un ailleurs (une autre planète?) poursuivre son évolution, tout en laissant les humains restant sur Terre dans une situation meilleure qu’elle ne l’est actuellement. Dans cette perspective, le retour de Jésus en exil dans cette contrée est donc un retour aux sources véritables, plutôt qu’en Israël. Il est à noter que de très nombreuses observations d’Ovnis ont été effectuées près de Rennes le Chateau et de Bugarach (sphères lumineuses, cigares, etc: ce sont des faits ufologiques avérés), des manifestations paranormales aussi ont été observées. Jean d’Argoun explique que le peuple de Yahvé vient régulièrement observer l’état de sa nef endormie dans les flancs du Bugarach, car elle est en phase de réactivation. Le pic du Bugarach est d’ailleurs un haut lieu énergétique en France.
    • L’Arche d’Alliance et le Graal auraient été ramenés en territoire Gaulois aussi, et dans cette même région Audoise; il en décrit les emplacements approximatifs. Toutes ces informations étaient détenues par les Templiers, puis les Cathares en partie aussi.
    • Puis la phase extatique de Jean d’Argoun: les manifestations d’Ovni vont se multiplier sur le mont Bugarach, un faisceau de lumière permanent va y apparaître, et ce lieu deviendra un pôle d’observation évident de tous, jour comme nuit, un espace quasi réservé à l’observation extraterretres qui se va se conclure par le réveil de Yahvé et l’enlèvement des millions d’humains qui ont atteint le niveau de conscience suffisant pour changer de planète. Il indique que les militaires surveillent le pic par un satellite géostationnaire, car ils savent que quelque chose va s’y produire, et le fait est que (est-ce pour les relevés d’altitude ou pour la surveillance militaire comme le dit Jean d’Argoun), on peut voir sur le pic une pastille de métal fixée dans le sol, permettant de servir de réflecteur radar à un écho envoyé d’un satellite (donc pour mesurer l’altitude), preuve qu’un satellite va de temps en temps faire un relevé.

    Jean d’Argoun précise enfin que le Collège invisible (organisation de scientifiques réputés s’intéressant à la spiritualité/ufologie/etc, et dont la liste des membres est secrète l’aurait contacté pour lui dire que ses livres (qui sont écrits sous forme de messages brefs de quelques lignes dictés télépathiquement mots par mots et regroupés en « logion ») contiennent un message codé, selon un procédé de codage mathématique qui permet une lecture différente du contenu, cette deuxième lecture donnant accès à des informations d’ordre technique et scientifiques dépassant les connaissances actuelles, et dont l’une d’entre elle a pu être appliquée à une branche de la génétique pour faire avancer une découverte; mais tout ceci reste flou, le procédé de décodage n’étant pas donné.

    Extraits de « La Révélation d’Issahâ » de Jean d’Argoun
    Prophétie (66 ème logion) : « Il existe à la surface de la planète Mars, près de ses calottes glacières, des vestiges de la civilisation Atlante. elle avait fondé, il y a 25.000 ans, 7 colonies sur cet astre qui vont être retrouvées par les hommes de la Terre. Un grand événement médiatique s’annonce. Cet événement va être lié au phénomène OVNI et à la montagne de Bugarach. Mais que l’humanité soit très vigilante car auparavant les Anges déchus (« les Gris ») qui sont des extra-terrestres négatifs dont le chef est l’Antéchrist, vont vouloir imposer, avec l’aide des sociétés secrètes mondialistes, une religion athée sur Terre. L’Homme du verseau doit absolument comprendre que la réalité des « dieux » venus de l’Espace n’est pas en contradiction ou en opposition avec celle de Dieu … Dieu, depuis quelques décades, a cessé d’être un vénérable vieillard barbu, assis sur un trône, dans les nuages et présidant à la destinée exclusive des hommes… »

    Extraits de « La Révélation d’Issahâ » de Jean d’Argoun
    Prophétie (55 ème logion) : « Bientôt (entre 1999-2003) les races terrestres vont se trouver connectées les unes aux autres par un réseau géant. Un village planétaire va naître. Alors va émerger une véritable conscience planétaire. L’humanité prendra conscience qu’elle est une, embarquée sur un énorme vaisseau qui est la Terre, Gaïa, Adralhiâ, l’antique Terre-Mère des origines. Les Nationalites, les déchirements sociaux, les guerres de religions prendront fin et s’instaurera une vraie paix mondiale assurée par un gouvernement planétaire qui ne sera pas celui des « Gris » et de la synarchie des Ténèbres. Tel est le destin des hommes qui resteront sur la planète après la grande ascension de certains et les départs (en vaisseaux) des autres destinés à peupler une autre terre (Arkâ) aux confins de l’univers. L’homme est un explorateur des étoiles. Son aventure ne fait que commencer  »

    Extraits de « La Révélation d’Issahâ » de Jean d’Argoun
    Prophétie (41 ème logion) : « … dans quelques temps, vers l’an 2000, un contact va s’établir avec les anges (les extra-terrestres) afin que chaque être réceptif puisse enfin s’ouvrir en esprit et en Coeur aux sources abondantes de la Vérité, de la spiritualité au moyen de cristaux qui seront les médiateurs entre les intelligences cosmiques et les hommes de la terre …

    Références

    1. « Le Monde de l’Inconnu », n° 296, mars/avril 2002, pp. 48-49.

    2. Mijo, « Portes Ouvertes sur l’Invisible » (auteur – éditeur), 2000, p. 291.

    3. Jean d’Argoun, « Issahâ, la Lumière qui Vient », Trédaniel, 1997, pp. 129-130, 135, 157.

    4. Jean d’Argoun, « Bugarach, la Montagne Sacrée », Trédaniel, 2001, pp. 157-165.

    5. Jean d’Argoun, « L’Ultime Secret de Rennes-le-Château », Trédaniel, 2003, pp. 165-169.

    6. Ibid., pp. 109-119.

    7. Jean d’Argoun, « Issahâ, la Lumière qui Vient »,op. cit., pp. 151, 167.

    8. Ibid., p. 139 ; « La Révélation d’Issahâ », op. cit., pp. 57, 147 ; « Bugarach, la Montagne Sacrée », op. cit., pp. 113-115.

    9. Jean d’Argoun, « L’Ultime Secret de Rennes-le-Château », op. cit., pp. 133-147, 153-161.

    10. Jean d’Argoun, « Rennes-le-Château. L’0eil de Dieu », éd. Lanore, 2005, pp. 48-55.

    11. Ramathis-Mam, « Révélations d’Arcturus », éd. Ariane, 2004, p. 66.

    12. Nathalie Chintanavitch, « La Délivrance par le Soleil », éd. Ariane, 2004, p. 58.

    13. Pierre Monnet, « Contacts d’Outre-Espace », éd. Amrita, 1994, p. 194.

    14. Gildas Bourdais, « OVNIS : La Levée Progressive du Secret », JMG éditions, 2001, p. 371.

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  • Depuis l'enfance, je parle aux anges...

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    Depuis l'enfance, je parle aux anges...

    Auteure de best-sellers internationaux, Lorna Byrne voit et communique avec des anges depuis son enfance. Décryptage d'une belle et étrange relation.
    © Jason Clark
    Pourquoi avoir attendu cinquante ans pour partager votre histoire ?
    Lorsque j’étais bébé, les médecins ont dit à mes parents que j’étais attardée, parce que j’étais plus intéressée par ce qu’il se passait autour de moi que par les gens. J’entendais aussi les réflexions de mes oncles, de mes tantes ou des voisins à mon sujet. Si j’avais décrit ce que je voyais, on m’aurait internée ! Certains pensent encore que je suis folle, mais cela n’a plus d’importance. Mon premier livre a touché des centaines de milliers de personnes – il n’en aurait touché qu’une seule qu’il en aurait valu la peine. Tel est le but : apporter de l’amour et de l’espoir, afin que les gens redécouvrent combien la vie est précieuse. Aujourd’hui, le monde est davantage prêt à l’entendre, la conscience grandit.

    Égrégore d’énergie, entité réelle ou imaginaire : que représentent les anges pour vous ?
    Certaines personnes ressentent leur présence, en perçoivent des signes. Moi je les vois, physiquement, aussi distinctement que je vous vois, depuis que je suis toute petite. À l’époque, je ne savais pas que c’étaient des anges ! Vers l’âge de 2 ans et demi, je jouais avec mon frère… mort avant ma naissance. Quand je l’ai touché, je me suis aperçue qu’il n’était pas solide. C’est à ce moment-là que les anges m’ont appris la différence entre eux, les âmes telles que mon frère, et les personnes matérielles comme mes parents ou ma sœur. Les anges m’apparaissent généralement sous forme humaine, peut-être pour que je sois capable de les décrire. Je n’ai jamais questionné leur présence à mes côtés. Toute ma vie, ils ont été mes amis et mes professeurs. Ils m’ont appris tout ce que je sais. Dans la rue, je les vois. Je n’y prends plus garde, sauf s’ils attirent mon attention pour me donner des informations sur quelque chose ou sur quelqu’un. Il m’arrive de leur dire « Ça suffit ! » mais ils insistent, afin que j’en sache assez pour prier pour la personne ou lui apporter l’amour dont elle a besoin, sans interférer dans sa vie privée.

    Vous avez connu la pauvreté, la maladie de votre mari, la difficulté d’élever seule 4 enfants. Vous n’avez jamais douté des anges ?
    Je ne serais peut-être pas ce que je suis aujourd’hui si je n’avais pas traversé ces épreuves. Tout ce par quoi nous passons nous modèle. Il fallait que je vive cette part de mon humanité. Dans les instants les plus désespérés, les anges m’ont réconfortée et m’ont encouragée. Parfois, quand tout va mal, on a beau prier et demander de l’aide, on a l’impression que rien ne bouge. Ce n’est qu’avec le recul qu’on se rend compte qu’on a été soutenu. Il faut aussi apprendre à ne pas confondre nos envies et nos besoins. Si nous n’obtenons pas satisfaction, c’est peut-être que notre désir n’était pas juste.

    Quelles sont les conditions pour être aidé par un ange ?
    Il n’y en a pas. Nous avons tous un ange gardien ; j’en vois un derrière chaque personne, sous forme d’une colonne de lumière. Un ange gardien ne juge pas, il fait tout ce qui est en son pouvoir pour nous guider et nous faciliter la vie, sans empiéter sur notre libre arbitre. Ni Dieu ni les anges ne peuvent agir à notre place ; il faut nous lancer, essayer. Eux sont là pour nous apporter la force d’aller de l’avant. Demandez-leur de l’aide, simplement, puis tâchez d’être attentif aux signes. Aujourd’hui, on ne sait plus regarder ni écouter. Suivez la drôle de petite voix qui vous souffle de sourire à un inconnu, de laisser votre siège dans le bus. Ces gestes apparemment insignifiants ont le pouvoir de redonner espoir et de rendre la vie meilleure. Les anges gardiens nous invitent à réveiller la douceur, l’amour et la compassion qui sont en nous. En s’adressant quotidiennement à eux, on ressent peu à peu la joie monter, on commence à se sentir mieux. Plus intuitif, plus bienveillant, on perçoit davantage l’énergie qui entoure tous les êtres vivants, ainsi que la beauté de la vie.

    Avez-vous demandé aux anges pourquoi vous pouvez les voir ?
    Souvent ! Je suis une femme ordinaire. Si j’avais été diplômée d’une grande université, j’aurais été plus écoutée. Alors pourquoi moi ? « Pourquoi pas toi ? », m’a-t-on répondu. Je suis dyslexique, je peine à lire et à écrire. Quand les anges me disaient qu’un jour, j’écrirais un livre sur eux, je leur riais au nez : c’était insensé ! Ils arguaient qu’en temps utile, je recevrais de l’aide. Des années plus tard, après la mort de mon mari, lorsqu’ils m’ont fait savoir que le moment était venu, cette aide s’est matérialisée. Je n’y serais jamais arrivée sans les gens que Dieu a mis sur mon chemin. Avec le recul, je me dis qu’une des raisons pour lesquelles on m’a autorisée à voir les anges est sans doute d’en témoigner, afin d’aider à comprendre à quoi ressembleraient nos vies si nous pouvions tous les voir et leur parler.