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LE PASSAGE DU CAP
Il y a différents degrés. Il y a des êtres qui déjà ont été emmenés pour une
préparation, pour une régénération.
Il est, autour de la Terre, des vaisseaux spécialement préparés, spécialement agencés pour, en cas de catastrophe qui peut être encore évitée, recueillir le plus
grand nombre d'êtres humains possible, recueillir le plus grand nombre de spécimens de faune et de flore possible, pour que le monde ne périsse pas par la
faute de quelques-uns. Mais ceci n'est pas inéluctable.
Ceux qui seraient emmenés seraient un jour redéposés sur la Terre. Nous avons déjà fait cela dans des temps et des temps; lors de la formation de l'homme par
exemple. Nous le faisons sur bien des mondes. Il n'y a rien de changé.
Lorsque nous diffusons de tels messages, nous aimerions que les gens en tiennent compte, mais ne s'en saisissent pas, et ne fassent plus rien d'autre. C'est
facile de se dire : "Si la Terre meurt, nous serons évacués." C'est beaucoup plus difficile de faire en sorte que la Terre ne meure pas. Bien peu pensent à la Terre,
nous rejetant sur les épaules le lourd fardeau de la guérir et de la porter. Qu'ils se disent ces gens-là, que s'ils ne font rien pour la Terre, même s'ils sont épargnés,
la Terre fera tout, elle, pour les rejeter, car elle ne pourra plus supporter ceux qui se seront séparés d'elle, qui ont abusé de sa vie, de sa chaleur, de ses ressources.
Alors, lorsqu'on diffuse ces messages, lorsqu'on diffuse ces enseignements, qu'on le fasse avec la plus grande prudence, en sachant à qui ils vont être
donnés, et en mettant bien en garde ceux qui vont les recevoir de ne pas se laisser bercer, mais d'agir et d'oeuvrer jusqu'à la dernière seconde.
Tout le monde s'attend à ce qu'au coin de la rue, au bord de la route, un vaisseau apparaisse, aspire son petit monde, et le recrache ensuite sur la Terre tout
débordant d'un savoir acquis. On voit cela à l'échelle du temps de la Terre, en trois dimensions. On voit cela à la lumière du monde des apparences, avec son
petit intellect aux idées préconçues.
Beaucoup d'entre vous avez déjà fait des stages dans l'espace, dans cette vie.
Vous en ferez encore, le souvenir vous en reviendra. Cela ne veut pas dire qu'un jour vous n'aurez pas un vaisseau sur le bord de la route.
Il faut savoir interpréter ce que nous disons, il faut savoir le comprendre dans la
totalité des vibrations émises. Vous voyez le risque, la difficulté.
Si le passage de la nouvelle fréquence se fait en douceur, c'est une façon de parler, simplement, nous ne serons pas obligés d'intervenir en masse. Mais il y aura quand même bien des heurts, bien des soubresauts.
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Nous nous montrerons de plus en plus. Nous contacterons de plus en plus de
monde, nous l'avons déjà fait par périodes, et nous le ferons encore; mais lorsque nous faisons parler de nous, on nous éclipse pour ne regarder que les
effets de nos interventions. Ce n'est pas que nous souhaitons être pris pour des héros, accueillis en grande pompe, mais nous souhaiterions quand même savoir
que les terriens ont compris d'où venaient les leçons, d'où venaient les interventions, et qu'ils tiennent un peu compte de notre présence effective, qu'ils
élargissent un petit peu les fenêtres de la planète, qu'ils se rendent compte qu'ils ne sont pas des conquérants en puissance de tous les mondes, déjà vainqueurs, et
que si les mondes les attendent, c'est que les mondes auront décidé de les accueillir.
En admettant que les terriens s'en aillent à l'aventure dans le système solaire, ils trouveraient des mondes hostiles, mais ils sentiraient quand même notre
présence, ils sentiraient la vie. Ils ne pourraient pas y subsister en bonne santé pendant bien longtemps; il vaut mieux qu'ils s'éveillent auparavant.
Nous avons prévu, à un certain moment, de venir pour apporter notre technologie, bien sûr, c'est le passage de l'ère du Verseau, mais nous ne
viendrons pas si les hommes ne sont pas décidés à nous recevoir. Nous l'avons déjà dit, il faut que l'appel soit fervent et sincère, même d'un petit nombre; mais
venir au mauvais moment pourrait tout remettre en question. Il faut faire parfois du mal en voulant donner, en voulant aimer.
Mais la Terre passe aussi son passage, et ceux d'entre nous qui se sont incarnéssur elle s'éveillent de plus en plus et retrouvent leurs souvenirs. Ils ne vont pas tarder effectivement à se regrouper, je dis "effectivement" car le regroupement n'est pas fait, pas encore. Ni les uns, ni les autres n'êtes encore assez conscients
C'est encore une aventure que d'être Frère de l'Espace; c'est encore un peu flou pour beaucoup. On ne s'investit pas encore suffisamment. Combien se disent
extra-terrestres et n'abandonnent pas les systèmes de vie inhérents à la Terre!
Combien ne se détachent pas suffisamment des lourdeurs de la chair pour vivre par l'esprit et ressusciter cette chair en lui donnant une autre fréquence, en la
rapprochant des formes de nos espaces, des formes de nos mondes, pour permettre enfin le contact sans blessure, le contact sans brûlure, le contact sans
interaction fâcheuse ou douloureuse.
C'est sur cela qu'il faut appuyer, c'est cela qu'il faut enfoncer dans les têtes et dans les coeurs, inlassablement, patiemment.
La Nature sera régénérée dès l'instant où l'homme cessera d'être négatif; la Nature reprendra ses droits, sa force. La Terre est inondée à chaque instant de
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messages d'une certaine nature de vibrations, d'ondes, de radiations qui sont captées par toutes les espèces, du minéral au végétal, à l'animal.
Des spécimens ont été emmenés pour être régénérés et sont déposés régulièrement sur la Terre. Des croisements sont effectués. Croyez-vous que lorsque des animaux, des plantes, des terriens, sont emmenés périodiquement
pour subir des examens, ce soit par simple curiosité de la part de ceux qui les pratiquent?
C'est aussi dans un but de surveillance. Encore, seulement c'est douloureux à dire, l'homme de la Terre est en grande partie animal. Sa conscience spirituelle
sommeille, ne s'éveille que par intermittence. Il n'est pas toujours facile de soigner, c'est une image, bien sûr, son chien ou son chat. Il faut parfois agir par
surprise. Allez donc lui expliquer qu'il se fait mal!
Nous avons toujours mis sur Terre des canaux, des points d'appel. Il y a toujours eu des contactés qui construisaient un prototype pour permettre ensuite à
l'espace d'intervenir.
Tout ce qu'ont construit les contactés, tout en étant fonctionnement valable, ne sont que des pâles copies de ce que nous allons apporter. Mais cela va permettre
que nous apportions justement notre technologie, puisqu'il y aura au moins un répondant sur la Terre.
En donnant notre science, en donnant des aspects de notre technologie, de nos appareillages, de nos médicaments, de nos structures d'habitation, de nos
matériaux, de nos alliages, nous ne serons plus des envahisseurs culturels, puisqu'il y aura déjà un point d'appel.
La Confédération Intergalactique
A travers le canal d'Emania
Retranscrit par Reiver