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CONTACTE Français Jacques William Carter

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Le Français Jacques William Carter fait partie de ces "privilégiés" qui ont vécu de multiples expériences en relation directe avec le phénomène OVNI, bien que très peu d’ufologues connaissent son cas. Les personnes qui se disent contactées par des entités indéterminées éprouvent toujours beaucoup de difficultés à convaincre autrui de leur bonne foi. Il est vrai que les expériences qu’elles prétendent avoir vécues sont tellement fantastiques et « impossibles » qu’elles n’entrent pas dans le cadre de référence de la science. Pourquoi ? Parce qu’elles outrepassent nos acquis scientifiques, notamment en physique, et qu’elles évoquent la présence d’une intelligence supérieure inconnue dans notre environnement planétaire.


1940 : 1er contact extraterrestre

Au mois de juin 1940, en pleine débâcle, Jacques a 15 ans. Avec sa mère et sa tante, comme d’autres réfugiés, il fuit l’avance des armées allemandes. Les trois fugitifs se dirigent vers Rouen tant bien que mal, progressant à pied avec quelques maigres bagages, du moins quand les raids de bombardements ne les obligent pas à se mettre à l’abri. Non loin de Vieux-Rue, petit village près de Saint-Jacques sur Darnétal, une énorme boule venant du ciel surgit, et semble sur le point de s’écraser à proximité des trois témoins. Épouvantés, ceux-ci se jettent à terre, persuadés que l’impact sera désastreux pour eux. Pourtant, rien de tel ne se produit. Au bout d’un moment ils se redressent prudemment pour apercevoir avec stupéfaction et une émotion bien compréhensible, un extraordinaire objet posé sur le sol à une vingtaine de mètres d’eux. Il s’agit d’un énorme engin discoïde en forme d’assiette retournée, surmonté d’une excroissance verticale rappelant une tourelle. Son diamètre est estimé entre vingt et trente mètres. C’est de cette partie supérieure que partent brusquement des faisceaux lumineux tronqués, émis à partir d’ouvertures comparées à des hublots, de couleur et d’apparence que le témoin rapprochera plus tard à un éclairage au néon.


Un rayon qui sonde corps et esprit

Les « faisceaux » balaient alors le paysage comme s’ils cherchaient quelque chose. L’un de ces rayons se fixe sur Jacques, lequel se sent paralysé et incapable de crier. Les mêmes effets affectent aussi sa mère et sa tante. L’adolescent a le très net sentiment d’être examiné, étudié dans chaque partie de son corps ; et même dans son esprit, puisqu’il éprouve la forte impression d’être « psychanalysé » ! Puis, après ce « check-up » hors du commun, la formidable machine commence à rétracter un par un ses faisceaux de lumière, le dernier à réintégrer l’objet étant celui qui s’était braqué sur Jacques. Dernier acte de cette scène ahurissante : l’objet disparaît aux yeux des témoins en une fraction de seconde, sans bruit ni souffle. Plusieurs années après l’incident, Jacques estimera qu’il s’agissait probablement d’une disparition par dématérialisation. A noter qu’aucun occupant de la machine n’a pu être observé.


Motus et bouche cousue…

Les témoins reprennent leur route sans mot dire, comme si une interférence émanant du phénomène les avait temporairement privés de l’envie de s’exprimer sur ce qu’ils venaient de vivre. Pourtant, étant donné le caractère faramineux du spectacle visualisé, les langues auraient dû se délier pour discuter avec force de l’origine du phénomène, lequel manifestement n’appartenait pas à l’arsenal de l’aviation de l’Allemagne, encore moins à celui de la France ou de la Grande-Bretagne. D’évidence, il s’agissait d’un intrus venu d’on ne sait où, un lieu impossible à déterminer surtout à une époque où l’on ne parlait pas encore d’ovnis ni d’Extraterrestres. Pendant plus de trente ans, Jacques est donc resté totalement discret sur cet incident. Puis, en 1974, il a commencé à fréquenter des passionnés d’ovnis qui s’étaient regroupés au sein d’une association niçoise, le CEREIC. Cette situation l’a incité à divulguer son témoignage d’abord en privé, puis en public lors d’une conférence. Cependant, le cursus ufologique de notre homme ne s’arrête pas là, comme nous allons le constater ci-dessous.


Une seconde observation au Niger

En 1958, Jacques est devenu entrepreneur de transports routiers, assurant des liaisons entre le port de Cotonou et la ville de Niamey. Le 20 juillet, après un long périple commencé le 18 au soir, il quitte le village de Dosso pour se diriger vers Niamey. Avec lui se trouvent deux de ses employés africains, installés à l’arrière avec le fret. Tout à coup, l’un d’eux tambourine sur la cabine en criant : « Patron, il y a deux lunes ! ». Jacques freine, se penche à la fenêtre de la portière, et a le souffle coupé en apercevant un corps gigantesque supplémentaire dans la voûte céleste, où notre bonne vieille lune est également présente. Il s’agit d’une sphère d’une taille énorme, d’aspect métallique, d’un volume époustouflant, et bien visible dans le ciel clair-obscur de la nuit. Il est hors de question que l’intrus puisse être un satellite naturel, d’autant que ses dimensions sont colossales. La surface de cet objet est parfaitement lisse, d’une couleur gris-argent. Il est apparemment immobile, comme s’il se trouvait en orbite géostationnaire. Il n’est porteur d’aucune source lumineuse, mais reflète la pâle lueur de la lune. En outre, il n’émet pas le moindre bruit, et le silence ambiant qui règne à ce moment-là impressionne grandement les témoins.


Le mutisme devant l’incrédulité de l’entourage

Contrairement à ses deux employés qui sont pris de panique et qu’il s’emploie à rassurer, Jacques se sent envahi par un grand calme. Il est saisi par une forte émotion et éprouve même carrément une sorte d’euphorie. Il est content « qu’Ils soient là », selon sa propre expression. Après avoir examiné avec soin cet intrus, il estime son altitude entre 7.500 et 8.000 mètres, et sa taille entre 1.500 et 3.000 mètres ; l’observation a duré un peu moins d’une heure. Ayant repris sa route et de retour chez lui, Jacques est alors envahi par toutes sortes de pensées relatives à son observation : dans son allégresse initiale, il aurait voulu la faire connaître au monde entier ! Hélas, s’étant confié à quelques Européens de sa connaissance, il ne rencontre que scepticisme et sourires amusés. Bref, personne ne prend pour argent comptant le récit de son expérience. Jacques comprend alors combien il est difficile de convaincre les gens avec une histoire qui n’entre pas dans leur univers conceptuel. C’est aussi pour cette raison que lors de son intervention publique citée précédemment, il s’est abstenu d’évoquer son observation de la « double lune ». Il pensait que les personnes présentes l’auraient pris pour un mythomane, l’atterrissage de juin 1940 étant déjà suffisamment énorme. Donc, il a estimé que parler du « planétoïde » de juillet 1958 aurait conduit l’assistance à le considérer comme un menteur pathologique.


Des contacts réguliers !

Nouvelle expérience mystérieuse en août 1976 : au cours d’un voyage en Italie, dans un petit village de la province de Perrugia, Jacques Carter assiste à un incident qu’il associe immédiatement à un autre « contact » par les mêmes extraterrestres des deux observations citées plus haut. Dans la chambre en étage où il passe la nuit, il est réveillé par sa compagne qui s’était levée en proie à une insomnie. Une lumière blanche d’une très grande intensité illumine la pièce. Elle vient de l’extérieur et pénètre par la fenêtre sans volets. Jacques va jusqu’à la fenêtre et peut distinguer un prodigieux engin qui se trouve en suspension devant la maison de son hôte. Cet épisode devait beaucoup marquer le témoin, et renforcer sa croyance dans le fait qu’il était « suivi à la trace » depuis son adolescence ; peut-être même manipulé au niveau de son psychisme par des êtres venus d’un monde étranger au nôtre. Un ami de Jacques a d’ailleurs découvert un cycle de 6.602 ou 6.603 jours entre les trois incidents qui viennent d’être détaillés, ce que le contacté estime ne pas être une coïncidence mais plutôt un même écart de temps voulu par le phénomène quel qu’il soit…


Autres observations et étrangetés

Jacques semble ensuite avoir fait l’objet d’une attention plus soutenue de l’entité inconnue, car il a par la suite enregistré une série d’événements et de contacts étranges, lesquels se sont produits avec des intervalles de temps beaucoup moins espacés. Citons-en quelques-uns dans leurs grandes lignes :
Le soir du 28 décembre 1976 : c’est en redescendant du col de Vence au volant de sa voiture avec sa compagne à ses côtés, que le couple distingue un objet volant de forme inhabituelle. Il s’agit d’une plateforme de section très mince sur laquelle se trouve une excroissance cylindrique volumineuse, laquelle vue de profil affecte l’apparence d’un carré. Cette masse est noire sans la moindre trace d’ouvertures quelconques, et elle se détache fort bien sur le ciel étoilé parsemé de quelques nuages. Là encore, ce spectacle provoque chez le témoin un sentiment de joie intérieure qui lui donne l’impression très vive d’être surveillé, guidé, voire protégé, ou encore programmé.
Dans la nuit du 21 au 22 juin 1980 : alors qu’il roule dans sa Ford, c’est près de Signes, petit village du Var, qu’un fait curieux se produit. Dans une descente à nombreux virages, sa voiture semble passer sous le contrôle d’une autre volonté que la sienne. Quand il réussit à stopper enfin son véhicule quelques instants plus tard, il aperçoit un objet lumineux d’aspect nuageux aux contours précis mais irréguliers qui se tient immobile à une trentaine de mètres du sol, à deux cents mètres du témoin. Sa taille est estimée à trente mètres de long pour cinq de haut. Un phare rond apparaît sur cette structure, et un faisceau de lumière blanche intense, presque insoutenable, atteint le témoin et l’enveloppe durant trois ou quatre secondes, pour ensuite se rétracter jusqu’à disparaître complètement. Durée totale de l’incident : dix secondes.

J’omets sciemment de citer certaines anomalies d’ordre psychique enregistrées par Jacques, en rapport avec ses observations (précognition, et autres impressions diverses peut-être résultant de manipulations exercées par le phénomène sur son esprit) car cela aurait alourdi mon texte. Toutes ces bizarreries ont amené le témoin à prendre conscience que sa personne intéressait grandement des êtres qu’il croit être des Extraterrestres puisqu’ils semblent disposer de moyens technologiques qui outrepassent de loin les nôtres.


Séances de régression hypnotique…

« Missing-time » : c’est le terme anglais utilisé par les ufologues pour désigner une période de temps non mémorisée par les personnes qui croient avoir été enlevées temporairement par des extraterrestres. Les chercheurs spécialisés dans ce type de « trou » dans l’emploi du temps, croient généralement que la régression hypnotique est la panacée qui permet aux souvenirs oubliés de ressurgir dans le conscient, même si cela reste à prouver. Convaincu que ces diverses observations pouvaient cacher une expérience de ce genre, Jacques s’emploie alors à prendre contact avec un spécialiste de l’hypnose susceptible de l’aider à mieux comprendre ce qui lui est arrivé. Plusieurs séances sont organisées à son domicile au début des années 1980. En dehors de quelques petits détails qui viennent s’ajouter à ceux des témoignages qu’il a rapportés en pleine conscience, aucun élément n’a surgi pouvant suggérer un ou plusieurs enlèvements dans les réponses qu’il a pu faire aux questions de l’hypnotiseur. Toutefois, à l’en croire, ces régressions hypnotiques lui auraient permis d’apprendre qu’il avait un lien de parenté avec les êtres qui se sont manifestés par des apparitions successives d’ovnis. Il est maintenant persuadé que ces Extraterrestres sont ses (ou plutôt nos) lointains ascendants.


… et flashs nocturnes

À partir de 1982, Jacques Carter expérimente également plusieurs « flashs » durant des états de demi-sommeil ou de sommeil total. Ce sont des scènes d’un très grand réalisme qui peuvent durer quelques minutes, et qui défilent dans son esprit comme « un film sur un écran de cinéma ». L’une d’elles lui a permis de se remémorer une observation faite en 1942, concernant un énorme engin volant cylindrique très long progressant lentement à basse altitude entre deux fermes aux environs de Poix-de-Picardie, dans la Somme. Les autres scènes se rapportent essentiellement à sa présence temporaire d’abord dans le vaisseau cité auparavant, puis dans un super vaisseau-mère correspondant au « planétoïde » observé le 16 août 1976, avec observations d’occupants anthropomorphes et de scènes curieuses très suggestives. Des séances d’hypnose visant à restituer d’autres détails sur ces « flashs » ont amené Jacques à estimer que des extraterrestres lui ont montré des événements de notre proche futur, lesquels semblent illustrer l’évacuation de certains Terriens, soigneusement sélectionnés. Cette initiative, à l’en croire, viserait à sauvegarder notre espèce d’une catastrophe planétaire qui doit se produire à une date qui ne lui a pas été donnée par les auteurs de ces visions insolites…


Attention : aliens rusés !

L’impression générale que j’éprouve à la lecture du récit de Jacques Carter, bien qu’il me paraisse exprimé de bonne foi, est qu’il a probablement été magistralement manipulé pour susciter en lui une croyance, laquelle ne correspond pas obligatoirement à la réalité. Dans ce domaine, il ne faut pas perdre de vue que ces intelligences inconnues usent de leurs influences sur certains humains à l’aide d’un fer de lance plus que millénaire, axé sur la tromperie systématique ; nos angoisses, mais aussi nos espérances, servant de substrat au phénomène pour s’exprimer. Au reste, j’ai suffisamment produit d’exemples dans mes livres qui tendent à valider cette façon de concevoir la situation dans laquelle l’humanité se trouve par rapport à ces entités qui se plaisent à apparaître à nos yeux ou à notre esprit sous diverses identités depuis l’aube des civilisations. Par exemple j’ai montré que ces créatures n’avaient aucunement besoin de machines volantes pour enlever des gens, que ce soit en corps ou en esprit. De même, j’ai cité bon nombre de cas qui donnent le très net sentiment que les témoins ont été mystifiés par des leurres cervicaux très sophistiqués, plus rarement d’hologrammes et de matérialisations temporaires. Ces êtres inconnus (ou ces systèmes de contrôle) possèdent aussi des pouvoirs très puissants, notamment sur les particules de la matière. Ils peuvent les dissocier et les réassocier dans le même ordre originel, ce qui explique les dématérialisations et les re-matérialisations. D’autre part, grâce au « point de Dieu », ils sont capables de faire croire n’importe quoi à n’importe qui, n’importe quand et n’importe où. Bref, ce sont des experts de l’illusion.

Quelle est la finalité de cette manipulation ? Honnêtement je ne suis sûr de rien. J’ai bien émis une hypothèse cohérente dans mon dernier livre, mais je ne possède aucune preuve formelle pour en prouver le bien fondé. Aussi, comme rien ne détermine que ma façon d’entrevoir ce mystère est la bonne, le lecteur est libre de se forger lui-même sa propre opinion…


OVNI : le phénomène de « Lune-double »
Un mystérieux satellite : le Chevalier Noir

En lisant le quotidien d’informations « Nice-Matin » du 18 janvier 1976, Jacques apprend que le 28 décembre 1975 l’astronome Charles Kowal avait découvert un astéroïde gravitant sur une orbite relativement proche de la Terre et de Vénus, mesurant entre 1.500 mètres et 3.000 mètres. L’article précisait également que cet objet émettait en phonie dans une langue inconnue. Jacques estime que c’est le même corps céleste qu’il a vu au Niger. Je me souviens d’ailleurs qu’à la même époque, j’ai lu cette information dans un journal parisien, mais il n’y eut aucune suite comme si ce corps céleste inconnu n’était plus observable. Jacques pense qu’il pouvait s’agir du « chevalier noir », étrange « satellite » vagabond découvert en novembre 1958, soit quatre mois après le lancement de Spoutnik le 4 octobre 1957. Il estime également que le commandant Conrad, astronaute américain, l’a observé en mai 1973 à bord du vaisseau spatial Skylab.


D’énormes vaisseaux-mères ?

J’ignore comment il faut interpréter cette affaire, mais je remarque que ce n’est pas la première fois que des témoins observent des sphères gigantesques dans notre atmosphère ou l’espace inter-planétaire. Plusieurs cas de « lune double » ont été signalés dans la littérature ufologique, et certains de ces objets ont été appelés « vaisseaux-mères », non seulement à cause de leur très grande taille, mais aussi parce que de plus petits objets ont été remarqués en sortant ou y rentrant. J’ai moi-même publié des témoignages d’astronomes dans mon livre « Ovnis : la solution du mystère ? ». Ils se répartissent dans la fourchette temporelle suivante : 1623-1991. Certains décrivent des objets sphériques inconnus dans nos cieux ainsi que dans l’espace entre le soleil et la Terre, et entre la Lune et notre planète. Par exemple, le 4 avril 1892, l’astronome hollandais Muller a vu un objet rond et tout noir qui traversait lentement le disque lunaire sur un trajet horizontal.


Pour en savoir plus
« Ovnis créateurs de l’Humanité », Jean Sider, Editions JMG.

source : http://www.mondeinconnu.com/index.php/d ... /0/53.html

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