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Les deux humanités

03 janvier 2013

Les deux humanités

Même si l’idée peut prêter à sourire ou à polémiquer, une croyance se répand actuellement selon laquelle la race humaine aurait été fondamentalement scindée en deux. Indépendamment des critères biologiques, physiologiques et ethnologiques liés à la couleur de la peau et à la culture d’origine, notre humanité pourrait en réalité être composée de deux races humanoïdes aux origines extraterrestres bien distinctes et destinées chacune à un avenir différent.

Nous sommes tous et depuis notre enfance accoutumés à penser en termes de physionomie et de morphologie. Nous voyons tantôt des Jaunes (de type manchourien, mongolien, malaisien…), tantôt des Blancs (de type caucasien, hyperboréen, méditerranéen…), tantôt des Noirs (de type africain, papouasien, abyssin…) et tantôt des Rouges (de type amérindien, mélanésien…). Nous avons pris l’habitude de répartir l’humanité en plusieurs "races" elles-mêmes fragmentées en groupes identifiables. Les dernières avancées technologiques entourant le génome ont d’ailleurs permis de les catégoriser, d’en établir les caractéristiques et d’en découvrir l’évolution au fil de notre histoire récente.

Mais il existe une connaissance dissimulée dans certains enseignements dits ésotériques ou occultes qui utilise d’autres critères. Selon elle, tous les humains seraient, à la base, issus de seulement deux races bien distinctes. Et l’une de ces races ne serait pas vraiment "humaine", au sens où l’on entend habituellement ce mot, ce qui pourrait expliquer les difficultés actuelles de notre humanité à réaliser collectivement sa transition vers l’Ère Nouvelle. Car il est écrit que cette Ère Nouvelle, dont certains nous avaient promis l’avènement avant la fin de l’année 2012, sera d’abord et avant tout l’Ère de l’Unité et de la Fraternité.

 

Sous cette apparente diversité, l’humanité ne comporterait en réalité que deux races !

Pour comprendre les événements auxquels nous sommes aujourd’hui confrontés, il faut prendre en compte les aspects méconnus de notre histoire et se référer à certains textes apocryphes.

Ainsi, l’Évangile de Judas est un manuscrit en papyrus de vingt-six pages écrit dans un antique dialecte copte, le sahidique, et datant du IIIème ou du IVème siècle (entre l’an 220 et l’an 340 après J.C.). Il fait partie d'un codex d'une soixantaine de feuillets contenant aussi deux autres textes apocryphes : l'Épître de Pierre à Philippe et la Première Apocalypse de Jacques. Ce codex a été découvert en 1978, dans les sables du désert égyptien près d’Al Minya, et il est actuellement conservé à New-York.

 

Judas et son Évangile apocryphe

Dans cet Évangile, Jésus révèle à Judas des informations capitales qui ne pouvaient en leur temps être entendues que par ce dernier car il était son seul disciple à avoir reçu une initiation adaptée à ce niveau de compréhension. Judas était un Iscariote. Les Iscariotes constituaient une élite intellectuelle brillante, mais à l’intelligence froide et ils avaient la réputation d’être dépourvus d’amour altruiste et de compassion. Une partie de leur descendance participa plus tard à la création de la dynastie des Rothschild (alias Bauer), l'une des treize grandes familles régnantes qui se partagent aujourd'hui la gouvernance occulte de notre planète, et dont font également partie les Médicis, les Hanovre, les Habsbourg, les Plantagenet, les Bruce, les Rockefeller, les Romanov, les Sinclair, les Krupp, les Cavendish (alias Kennedy), dont l'héritier, John Fitzgerald, fut assassiné parce qu'il cherchait à échapper à leur contrôle, les Warburg, la plus puissante étant celle des Saxe-Cobourg-Gotha (alias Windsor).

Ces treize familles n'en constituent en réalité qu'une seule qui dirige secrètement la Terre depuis l'époque prébabylonienne. Les membres de ces dynasties possèdent tous dans leurs gènes, à des degrés divers, des particules d'ADN reptilien. Et ils appartiennent tous à la seconde lignée de notre humanité, celle qui est responsable de toutes les abominations qui continuent aujourd’hui à être perpétrées sur cette planète.

Même si leur règne touche à sa fin, ils persistent à vouloir imposer leur domination sur notre monde en pervertissant un maximum d’êtres nobles et désintéressés membres de la première lignée, la lignée originelle de notre humanité, afin de contrecarrer la montée du taux vibratoire de la planète et les ouvertures de conscience.

Mais de quelles "lignées" s’agit-il au juste ? Dans l’Évangile de Judas, Jésus enseigne qu’il existe deux sortes d’êtres humains, en réalité deux lignées humaines : « la grande génération sans Archontes au-dessus d’elle », c’est-à-dire la race antérieure à la prise de contrôle de notre dimension par sept puissants Esprits maléfiques d’essence reptilienne auxquels les Gnostiques ont attribué ce nom "d’Archontes" et « la génération perdue », c’est-à-dire la branche de l’humanité qu’ils ont réussi à manipuler pour introduire la dualité sur la Terre.

 

Les Archontes ont inspiré les mythologies et l’imagerie de nombreuses religions.

La génération adamique, ceux à qui l’archange Gabriel a accordé l’Esprit éternel et qui appartient par conséquent à « la grande génération sans Archontes » regagnera le Royaume dont elle est issue. Elle retrouvera sa source, toujours porteuse de son âme éternelle. Quant à la seconde génération, elle est, selon Judas, dépourvue d’âme immortelle, mais possède « un esprit à titre temporaire pour le service » reçu de l’archange Mikhaël.

Une forme d’intelligence plus mécanique aurait ainsi été accordée à cette seconde humanité pour un temps déterminé. Certains textes apocryphes auraient pour principal objet de nous informer de l’existence de cette double humanité et de ce double héritage qui est devenu le nôtre, et par conséquent de réfuter l’existence d’une race unique incluant un cercle d’êtres élus, des âmes obéissantes choisies par Dieu en récompense de leur strict respect de ses commandements.

Cette notion d’une double humanité a été relayée par certains chercheurs peu connus mais très en avance sur leur temps, comme le fut Boris Mouravieff, un historien russe extraordinairement intuitif du début du XXème siècle, spécialiste de l’ésotérisme chrétien, qui était enseignant à l’Université de Genève, et ami de Gurdjieff. Il a évoqué à maintes reprises l’existence de cette double humanité où certains seraient dotés d’une âme immortelle tandis que d’autres ne seraient que des sortes de robots, des entités organiques mimant l’activité de l’âme, dotées d’un intellect performant et acéré mais connecté directement à une âme-groupe d’essence reptilienne, alors que l’être humain "adamique" possède une âme individuelle.

Selon Mouravieff, la caractéristique fondamentale de l’être humain est sa capacité de compassion, d’empathie, d’altruisme, ce qui constitue d’ailleurs l’essence même du mot "humanité". Mais cette capacité serait absente de la seconde lignée de l’humanité.

 

À gauche Boris Mouravieff – à droite Georges Gurdjieff

Cette seconde lignée serait l’œuvre des Archontes et constituée par des êtres d’apparence anthropomorphe, mais de nature reptoïde et dépourvus d’âme. Laura Knight-Jadczyk, une médium américaine canal des Cassiopéens, a ouvert un site sur Internet où elle a longuement analysé les deux composantes de notre double humanité. Elle a baptisé les entités dépourvues d’âme du nom de "portails organiques". Se fondant sur les recherches de Boris Mouravieff mais également sur ses propres travaux avec le groupe de Cassiopéens auquel elle est connectée, elle pose la situation en ces termes : « Certains hommes et certaines femmes que nous côtoyons tous les jours ne possèdent tout simplement pas d'âme, ni même la possibilité d'en développer une. Je suis bien consciente du caractère choquant de cette affirmation. Pourtant, ce sujet a récemment fait l'objet de nombreuses recherches scientifiques basées sur ce qui semble être des preuves cliniques montrant qu'en effet, il existe des êtres humains dont la nature est vraiment "mécanique" et qui n'ont pas du tout de "Moi supérieur". Gurdjieff avait d’ailleurs déjà évoqué ce sujet, comme le fit plus tard Castaneda. »

Laura Knight-Jadczyk voit dans la situation de détresse physique, morale et psychique qui affecte actuellement un bon nombre d’entre nous et qui semble précipiter le monde dans sa chute une confirmation évidente de l’existence de cette "double humanité" et du marasme qui en découle.

Comment peut-il y avoir autant d’injustice et de conflits dans le monde ? Pourquoi tant de gens demeurent divisés, chacun privilégiant tantôt la paix tantôt la guerre, tantôt le respect tantôt le mépris des autres, tantôt la protection de l'environnement tantôt sa destruction, c'est-à-dire, en résumé, une perspective purement matérielle et égoïste ou au contraire une approche spirituelle et altruiste ? Peut-être que poser la question, c’est déjà y répondre, car la vérité pourrait bien être qu'il n'y a pas et qu'il n'y a jamais eu un "Je" ni un "Nous", c’est-à-dire une race humaine homogène sur cette planète. Nous ne serions pas tous identiques, nous ne verrions pas le monde de la même manière. Nous ne serions pas simplement une race divisée ; nous formerions en réalité deux races différentes ! 

Bien entendu, accepter l’existence de ces deux sortes d’êtres humains présuppose que l’on reconnaisse l’existence de deux types de conscience et même, tout simplement, l’existence de l’âme humaine en tant que composante avérée de la réalité de l’univers, ce qui est encore loin d’être admis par le monde scientifique. Les scientifiques considèrent bien souvent la conscience comme une sorte de machine, d’ordinateur sophistiqué uniquement destiné à gérer des échanges électriques entre les neurones.

Alors comment leur faire prendre conscience qu’il existe une deuxième humanité, une sorte de clone de l’humanité adamique, entièrement conçue et programmée pour servir d’interface aux entités ténébreuses qui se sont emparées de notre monde ? Selon les héritiers de la tradition gnostique, cette "sous-humanité" inclurait certains membres de l’élite matérialiste, dont une partie occupe des responsabilités importantes dans les plus hautes sphères gouvernementales.

C’est parmi eux que se nichent les Illuminati et ceux qui influencent de manière déterminante le fonctionnement de notre société en fondant leur pouvoir sur la prédation, le rapport de force, la création de la richesse par le déséquilibre, la consommation frénétique et la jouissance par le mal. Or chacun peut aujourd’hui aisément constater que les hommes adamiques, dans leur condition postérieure à la Chute, ont été et continuent généralement d’être dans une position sociale très inférieure à celle des hommes sans âme.

Si l’on accepte le principe de la coexistence de ces deux catégories d’humains sur notre planète, il faut de toute façon prendre en compte que des croisements et des métissages se soient produits entre elles depuis des milliers si ce n'est des dizaines de milliers d'année. Il serait donc tout à fait vain de comparer les différentes races, la rouge, la blanche, la noire, la jaune, cohabitant dans notre monde et de décider laquelle d'entre elles correspond à cette race dépourvue d'âme, car ceux que nous avons pris l’habitude de considérer comme appartenant à des races différentes, n’ont en réalité pour seul et unique signe distinctif que la pigmentation de leur peau. Il n'existe pas de groupe, de tribu, de peuple ni de nation que l’on puisse identifier à cette race des "sans-âme". L'ADN des deux races est complètement mélangé, et c'est cela qui est le sens véritable de ce que l’Église a appelé "le péché originel". Le péché originel n’est en réalité que la contamination de la descendance de l’humanité adamique par une humanité reptoïde et dinoïde.

 

La Chute du Paradis selon Dierick Bouts

Mais tous ceux qui possèdent un code génétique approprié peuvent au final héberger une âme et ainsi poursuivre le travail intérieur d’élévation spirituelle qui nous est aujourd’hui demandé, ce qui signifie qu'aucune couleur ou aucun groupe ethnique n'en est a priori exclu. En tout état de cause, les événements apocalyptiques prédits par les prophètes et les religions du monde entier ne devraient jamais être considérés comme inéluctables ni comme les fruits de la colère d’un Dieu Justicier mais plutôt comme l’amorce du règlement final d’un problème génétique d’origine antédiluvienne : l’affrontement entre les deux races de l’humanité.

Étant donné que ces deux races se sont mélangées depuis des millénaires, il semble raisonnable de penser qu’il s’agira d’un conflit intérieur de l’homme avec lui-même, d’une lutte entre sa part "humaine" et sa part "mécanique", entre cette partie qui cultive des émotions altruistes, de l’empathie, des élans généreux et cette autre qui ne ressent rien et ne songe qu’à sa survie et sa jouissance immédiates. Nous sommes donc en réalité tous amenés à prendre aujourd’hui la décision de favoriser ou non en nous l’émergence de la conscience universelle, celle de notre partie porteuse d’une âme.

Le mot "âme" fait d’ailleurs référence à une multitude de réalités extrêmement  diverses. Il existe en effet dans l'univers une variété infinie de formes de vie, chacune manifestant et expérimentant un niveau de conscience spécifique, c'est-à-dire une sphère particulière de perception de la vie. C’est pourquoi le concept de "niveau de conscience" est sans doute bien mieux adapté que le mot"âme" à la réalité qu’il nous est actuellement donné d’expérimenter.

L’une des caractéristiques de notre planète est de ne pas être harmonisée ni homogène au niveau des consciences qu'elle abrite. Elle est comme un point de convergence, une zone de rencontre cosmique permettant à des niveaux de sensibilité - ou de conscience - différents de s'exprimer à des fins d'évolution. Depuis ce qu'on appelle "l'aube des temps", la Terre est ainsi le lieu de rendez-vous privilégié d'êtres dont les âmes sont d'origines extrêmement éparses. Il en est de très primaires, n'agissant qu'à des fins animales ou égotiques, et d'autres, plus altruistes qui recherchent la Lumière et la Connaissance à travers le levier de l’incarnation.

Selon le stade de conscience atteint par une âme, la compréhension des grands principes comme ceux du Bien et du Mal, par exemple, peuvent diverger radicalement. Ce qui est le Bien selon un type de conscience peut être perçu comme le Mal à un autre niveau. Avant d'avoir atteint un réel point d'intégration de la Sagesse, une âme a toujours tendance à percevoir comme étant bien ce qui correspond à l’insatiable appétit de son ego. 

Même s’il repose sur une réalité avérée, le fait de parler d'une humanité "à deux vitesses" - avec et sans âme - exprime un concept qui peut être dangereux dans le sens où il nous ancre toujours davantage dans la dualité. Il désigne des ennemis absolus, il n'unifie pas. Si on prétend vouloir emprunter le chemin de la Sagesse, il faut essayer de voir plus loin et d’accepter le fait que toutes les formes de manipulation, de domination, d'asservissement aussi - et même de monstruosité - ne sont que des étapes sur la voie de l'Évolution.

Selon Laura Knight, le piège consiste à présenter les portails organiques comme exclusivement maléfiques ou diaboliques. Selon la Tradition ésotérique et kabbalistique, ils possèdent un esprit de groupe qui se développe de manière opposée aux âmes individuelles, de la même manière que les animaux partagent un même réservoir d’énergie associé à leur type animal : l’énergie de l’espèce ours, du cheval, du chien et ainsi de suite. Cela est également vrai pour les membres de l’autre groupe, les Adamiques, jusqu’à ce qu’ils fassent le choix conscient de travailler sur eux-mêmes pour former leur "JE" authentique, le JE de la Collectivité fraternelle. La différence entre les portails organiques et adamiques est une question de potentiel. Tant que ce travail n’est pas fait, nous demeurons tous et chacun d’entre nous assimilables à des portails organiques.

Il ne sert à rien d’employer ces connaissances pour afficher une soi-disant supériorité. Car rabaisser les gens, les stigmatiser ne peut aboutir qu’à des confrontations totalement stériles. L’important actuellement est d’accepter que certains puissent avoir des objectifs différents des nôtres, même lorsqu’ils nous semblent scandaleux, étriqués ou ridicules. D’autant que, comme l’a fait remarquer Daniel Meurois, il est impossible de conclure quoi que ce soit à propos des entités dénuées d’âme alors que nous ne savons même pas exactement ce qu’est une âme !

Par ailleurs, les textes gnostiques nous apprennent que l’irruption des Archontes, et donc des générations nées sous les Archontes, c’est-à-dire de la deuxième humanité, est le fruit d’une erreur et non d’une faute ni d’un quelconque péché. Si cette erreur a été tolérée par notre Hiérarchie Galactique, c’est qu’elle peut avoir une utilité, une fonction, et mener à une évolution pour le plus grand bien de tous.

Voilà des années que les évangélistes anglo-saxons et les adeptes de la spiritualité reptilienne surfent sur la "vague 2012" pour tenter de nous rançonner psychiquement et de nous transformer définitivement en esclaves.

 

Le chantage à la peur des évangélistes anglo-saxons

La réalité est que nous sommes effectivement confrontés à une période charnière, à la fin d’un temps, d’une époque, mais pas à la fin DES temps. La meilleure image que l’on puisse se faire de la situation actuelle serait bien plutôt celle de l’amorce d’une nouvelle oscillation dans le grand balancier cosmique de l’Évolution, d’un point de l’espace-temps où les événements s’accélèrent et s’intensifient jusqu’à un stade où tout ce à quoi nous assistons peut nous sembler violent, chaotique, grotesque et insensé. On nous inculque la peur, une peur déformante qui ne nous aide pas à réaliser que ce que nous vivons actuellement, c’est tout simplement la fin d’un cycle, le début d’un nouveau cycle et rien d’autre que cela.

Selon les Puranas, l’un des principaux textes sacrés prophétiques de l’Inde védique, la sombre période qui s’achève aujourd’hui, et qui porte le nom sanskrit de "Kali Yuga" (Âge de Fer), coïncide avec la fin de la race humaine actuelle, la cinquième race-mère et à l’émergence d’une nouvelle race, la sixième, en même temps qu’avec l’avènement d’un nouvel Âge d’Or (Satya Yuga). Il n’y est donc pas question d’un affrontement entre deux races, mais du remplacement progressif d’une race par une autre race.

 

Krishna insufflant l’avènement de l’Âge d’Or

Lors de l’avènement de la cinquième race, qui était liée à l’expérimentation de la dualité, la Hiérarchie Galactique a autorisé les Archontes à instaurer un long règne sur cette Terre, celui de la division entre les âmes, entre les êtres, entre les peuples et entre les nations. Même si l’on cherche à nous faire croire qu’il ne s’est rien passé le 21 décembre 2012 - ce qui est d’ailleurs en grande partie vrai, mais uniquement au plan physique - le temps est venu de rompre ce cycle obscur et de réintégrer le Royaume dont nous sommes issus et où, tous, nous sommes des frères et des sœurs.

Voici enfin venu le temps d’accueillir en nous l’Esprit du Soleil ! Puisse-t-il nous unir et nous aider à former tous ensemble la sixième race et à devenir UN à jamais dans la Lumière !

Olivier de Rouvroy
Décembre 20

 

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