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Contacts Interdimensionnels Exobiologie Transdimensionnelle Confédération Intergalactique - Page 615

  • CONTACTE Français Jacques William Carter

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    http://www.pluslife85.com/jacques.carter/index-2.html

     

    Le Français Jacques William Carter fait partie de ces "privilégiés" qui ont vécu de multiples expériences en relation directe avec le phénomène OVNI, bien que très peu d’ufologues connaissent son cas. Les personnes qui se disent contactées par des entités indéterminées éprouvent toujours beaucoup de difficultés à convaincre autrui de leur bonne foi. Il est vrai que les expériences qu’elles prétendent avoir vécues sont tellement fantastiques et « impossibles » qu’elles n’entrent pas dans le cadre de référence de la science. Pourquoi ? Parce qu’elles outrepassent nos acquis scientifiques, notamment en physique, et qu’elles évoquent la présence d’une intelligence supérieure inconnue dans notre environnement planétaire.


    1940 : 1er contact extraterrestre

    Au mois de juin 1940, en pleine débâcle, Jacques a 15 ans. Avec sa mère et sa tante, comme d’autres réfugiés, il fuit l’avance des armées allemandes. Les trois fugitifs se dirigent vers Rouen tant bien que mal, progressant à pied avec quelques maigres bagages, du moins quand les raids de bombardements ne les obligent pas à se mettre à l’abri. Non loin de Vieux-Rue, petit village près de Saint-Jacques sur Darnétal, une énorme boule venant du ciel surgit, et semble sur le point de s’écraser à proximité des trois témoins. Épouvantés, ceux-ci se jettent à terre, persuadés que l’impact sera désastreux pour eux. Pourtant, rien de tel ne se produit. Au bout d’un moment ils se redressent prudemment pour apercevoir avec stupéfaction et une émotion bien compréhensible, un extraordinaire objet posé sur le sol à une vingtaine de mètres d’eux. Il s’agit d’un énorme engin discoïde en forme d’assiette retournée, surmonté d’une excroissance verticale rappelant une tourelle. Son diamètre est estimé entre vingt et trente mètres. C’est de cette partie supérieure que partent brusquement des faisceaux lumineux tronqués, émis à partir d’ouvertures comparées à des hublots, de couleur et d’apparence que le témoin rapprochera plus tard à un éclairage au néon.


    Un rayon qui sonde corps et esprit

    Les « faisceaux » balaient alors le paysage comme s’ils cherchaient quelque chose. L’un de ces rayons se fixe sur Jacques, lequel se sent paralysé et incapable de crier. Les mêmes effets affectent aussi sa mère et sa tante. L’adolescent a le très net sentiment d’être examiné, étudié dans chaque partie de son corps ; et même dans son esprit, puisqu’il éprouve la forte impression d’être « psychanalysé » ! Puis, après ce « check-up » hors du commun, la formidable machine commence à rétracter un par un ses faisceaux de lumière, le dernier à réintégrer l’objet étant celui qui s’était braqué sur Jacques. Dernier acte de cette scène ahurissante : l’objet disparaît aux yeux des témoins en une fraction de seconde, sans bruit ni souffle. Plusieurs années après l’incident, Jacques estimera qu’il s’agissait probablement d’une disparition par dématérialisation. A noter qu’aucun occupant de la machine n’a pu être observé.


    Motus et bouche cousue…

    Les témoins reprennent leur route sans mot dire, comme si une interférence émanant du phénomène les avait temporairement privés de l’envie de s’exprimer sur ce qu’ils venaient de vivre. Pourtant, étant donné le caractère faramineux du spectacle visualisé, les langues auraient dû se délier pour discuter avec force de l’origine du phénomène, lequel manifestement n’appartenait pas à l’arsenal de l’aviation de l’Allemagne, encore moins à celui de la France ou de la Grande-Bretagne. D’évidence, il s’agissait d’un intrus venu d’on ne sait où, un lieu impossible à déterminer surtout à une époque où l’on ne parlait pas encore d’ovnis ni d’Extraterrestres. Pendant plus de trente ans, Jacques est donc resté totalement discret sur cet incident. Puis, en 1974, il a commencé à fréquenter des passionnés d’ovnis qui s’étaient regroupés au sein d’une association niçoise, le CEREIC. Cette situation l’a incité à divulguer son témoignage d’abord en privé, puis en public lors d’une conférence. Cependant, le cursus ufologique de notre homme ne s’arrête pas là, comme nous allons le constater ci-dessous.


    Une seconde observation au Niger

    En 1958, Jacques est devenu entrepreneur de transports routiers, assurant des liaisons entre le port de Cotonou et la ville de Niamey. Le 20 juillet, après un long périple commencé le 18 au soir, il quitte le village de Dosso pour se diriger vers Niamey. Avec lui se trouvent deux de ses employés africains, installés à l’arrière avec le fret. Tout à coup, l’un d’eux tambourine sur la cabine en criant : « Patron, il y a deux lunes ! ». Jacques freine, se penche à la fenêtre de la portière, et a le souffle coupé en apercevant un corps gigantesque supplémentaire dans la voûte céleste, où notre bonne vieille lune est également présente. Il s’agit d’une sphère d’une taille énorme, d’aspect métallique, d’un volume époustouflant, et bien visible dans le ciel clair-obscur de la nuit. Il est hors de question que l’intrus puisse être un satellite naturel, d’autant que ses dimensions sont colossales. La surface de cet objet est parfaitement lisse, d’une couleur gris-argent. Il est apparemment immobile, comme s’il se trouvait en orbite géostationnaire. Il n’est porteur d’aucune source lumineuse, mais reflète la pâle lueur de la lune. En outre, il n’émet pas le moindre bruit, et le silence ambiant qui règne à ce moment-là impressionne grandement les témoins.


    Le mutisme devant l’incrédulité de l’entourage

    Contrairement à ses deux employés qui sont pris de panique et qu’il s’emploie à rassurer, Jacques se sent envahi par un grand calme. Il est saisi par une forte émotion et éprouve même carrément une sorte d’euphorie. Il est content « qu’Ils soient là », selon sa propre expression. Après avoir examiné avec soin cet intrus, il estime son altitude entre 7.500 et 8.000 mètres, et sa taille entre 1.500 et 3.000 mètres ; l’observation a duré un peu moins d’une heure. Ayant repris sa route et de retour chez lui, Jacques est alors envahi par toutes sortes de pensées relatives à son observation : dans son allégresse initiale, il aurait voulu la faire connaître au monde entier ! Hélas, s’étant confié à quelques Européens de sa connaissance, il ne rencontre que scepticisme et sourires amusés. Bref, personne ne prend pour argent comptant le récit de son expérience. Jacques comprend alors combien il est difficile de convaincre les gens avec une histoire qui n’entre pas dans leur univers conceptuel. C’est aussi pour cette raison que lors de son intervention publique citée précédemment, il s’est abstenu d’évoquer son observation de la « double lune ». Il pensait que les personnes présentes l’auraient pris pour un mythomane, l’atterrissage de juin 1940 étant déjà suffisamment énorme. Donc, il a estimé que parler du « planétoïde » de juillet 1958 aurait conduit l’assistance à le considérer comme un menteur pathologique.


    Des contacts réguliers !

    Nouvelle expérience mystérieuse en août 1976 : au cours d’un voyage en Italie, dans un petit village de la province de Perrugia, Jacques Carter assiste à un incident qu’il associe immédiatement à un autre « contact » par les mêmes extraterrestres des deux observations citées plus haut. Dans la chambre en étage où il passe la nuit, il est réveillé par sa compagne qui s’était levée en proie à une insomnie. Une lumière blanche d’une très grande intensité illumine la pièce. Elle vient de l’extérieur et pénètre par la fenêtre sans volets. Jacques va jusqu’à la fenêtre et peut distinguer un prodigieux engin qui se trouve en suspension devant la maison de son hôte. Cet épisode devait beaucoup marquer le témoin, et renforcer sa croyance dans le fait qu’il était « suivi à la trace » depuis son adolescence ; peut-être même manipulé au niveau de son psychisme par des êtres venus d’un monde étranger au nôtre. Un ami de Jacques a d’ailleurs découvert un cycle de 6.602 ou 6.603 jours entre les trois incidents qui viennent d’être détaillés, ce que le contacté estime ne pas être une coïncidence mais plutôt un même écart de temps voulu par le phénomène quel qu’il soit…


    Autres observations et étrangetés

    Jacques semble ensuite avoir fait l’objet d’une attention plus soutenue de l’entité inconnue, car il a par la suite enregistré une série d’événements et de contacts étranges, lesquels se sont produits avec des intervalles de temps beaucoup moins espacés. Citons-en quelques-uns dans leurs grandes lignes :
    Le soir du 28 décembre 1976 : c’est en redescendant du col de Vence au volant de sa voiture avec sa compagne à ses côtés, que le couple distingue un objet volant de forme inhabituelle. Il s’agit d’une plateforme de section très mince sur laquelle se trouve une excroissance cylindrique volumineuse, laquelle vue de profil affecte l’apparence d’un carré. Cette masse est noire sans la moindre trace d’ouvertures quelconques, et elle se détache fort bien sur le ciel étoilé parsemé de quelques nuages. Là encore, ce spectacle provoque chez le témoin un sentiment de joie intérieure qui lui donne l’impression très vive d’être surveillé, guidé, voire protégé, ou encore programmé.
    Dans la nuit du 21 au 22 juin 1980 : alors qu’il roule dans sa Ford, c’est près de Signes, petit village du Var, qu’un fait curieux se produit. Dans une descente à nombreux virages, sa voiture semble passer sous le contrôle d’une autre volonté que la sienne. Quand il réussit à stopper enfin son véhicule quelques instants plus tard, il aperçoit un objet lumineux d’aspect nuageux aux contours précis mais irréguliers qui se tient immobile à une trentaine de mètres du sol, à deux cents mètres du témoin. Sa taille est estimée à trente mètres de long pour cinq de haut. Un phare rond apparaît sur cette structure, et un faisceau de lumière blanche intense, presque insoutenable, atteint le témoin et l’enveloppe durant trois ou quatre secondes, pour ensuite se rétracter jusqu’à disparaître complètement. Durée totale de l’incident : dix secondes.

    J’omets sciemment de citer certaines anomalies d’ordre psychique enregistrées par Jacques, en rapport avec ses observations (précognition, et autres impressions diverses peut-être résultant de manipulations exercées par le phénomène sur son esprit) car cela aurait alourdi mon texte. Toutes ces bizarreries ont amené le témoin à prendre conscience que sa personne intéressait grandement des êtres qu’il croit être des Extraterrestres puisqu’ils semblent disposer de moyens technologiques qui outrepassent de loin les nôtres.


    Séances de régression hypnotique…

    « Missing-time » : c’est le terme anglais utilisé par les ufologues pour désigner une période de temps non mémorisée par les personnes qui croient avoir été enlevées temporairement par des extraterrestres. Les chercheurs spécialisés dans ce type de « trou » dans l’emploi du temps, croient généralement que la régression hypnotique est la panacée qui permet aux souvenirs oubliés de ressurgir dans le conscient, même si cela reste à prouver. Convaincu que ces diverses observations pouvaient cacher une expérience de ce genre, Jacques s’emploie alors à prendre contact avec un spécialiste de l’hypnose susceptible de l’aider à mieux comprendre ce qui lui est arrivé. Plusieurs séances sont organisées à son domicile au début des années 1980. En dehors de quelques petits détails qui viennent s’ajouter à ceux des témoignages qu’il a rapportés en pleine conscience, aucun élément n’a surgi pouvant suggérer un ou plusieurs enlèvements dans les réponses qu’il a pu faire aux questions de l’hypnotiseur. Toutefois, à l’en croire, ces régressions hypnotiques lui auraient permis d’apprendre qu’il avait un lien de parenté avec les êtres qui se sont manifestés par des apparitions successives d’ovnis. Il est maintenant persuadé que ces Extraterrestres sont ses (ou plutôt nos) lointains ascendants.


    … et flashs nocturnes

    À partir de 1982, Jacques Carter expérimente également plusieurs « flashs » durant des états de demi-sommeil ou de sommeil total. Ce sont des scènes d’un très grand réalisme qui peuvent durer quelques minutes, et qui défilent dans son esprit comme « un film sur un écran de cinéma ». L’une d’elles lui a permis de se remémorer une observation faite en 1942, concernant un énorme engin volant cylindrique très long progressant lentement à basse altitude entre deux fermes aux environs de Poix-de-Picardie, dans la Somme. Les autres scènes se rapportent essentiellement à sa présence temporaire d’abord dans le vaisseau cité auparavant, puis dans un super vaisseau-mère correspondant au « planétoïde » observé le 16 août 1976, avec observations d’occupants anthropomorphes et de scènes curieuses très suggestives. Des séances d’hypnose visant à restituer d’autres détails sur ces « flashs » ont amené Jacques à estimer que des extraterrestres lui ont montré des événements de notre proche futur, lesquels semblent illustrer l’évacuation de certains Terriens, soigneusement sélectionnés. Cette initiative, à l’en croire, viserait à sauvegarder notre espèce d’une catastrophe planétaire qui doit se produire à une date qui ne lui a pas été donnée par les auteurs de ces visions insolites…


    Attention : aliens rusés !

    L’impression générale que j’éprouve à la lecture du récit de Jacques Carter, bien qu’il me paraisse exprimé de bonne foi, est qu’il a probablement été magistralement manipulé pour susciter en lui une croyance, laquelle ne correspond pas obligatoirement à la réalité. Dans ce domaine, il ne faut pas perdre de vue que ces intelligences inconnues usent de leurs influences sur certains humains à l’aide d’un fer de lance plus que millénaire, axé sur la tromperie systématique ; nos angoisses, mais aussi nos espérances, servant de substrat au phénomène pour s’exprimer. Au reste, j’ai suffisamment produit d’exemples dans mes livres qui tendent à valider cette façon de concevoir la situation dans laquelle l’humanité se trouve par rapport à ces entités qui se plaisent à apparaître à nos yeux ou à notre esprit sous diverses identités depuis l’aube des civilisations. Par exemple j’ai montré que ces créatures n’avaient aucunement besoin de machines volantes pour enlever des gens, que ce soit en corps ou en esprit. De même, j’ai cité bon nombre de cas qui donnent le très net sentiment que les témoins ont été mystifiés par des leurres cervicaux très sophistiqués, plus rarement d’hologrammes et de matérialisations temporaires. Ces êtres inconnus (ou ces systèmes de contrôle) possèdent aussi des pouvoirs très puissants, notamment sur les particules de la matière. Ils peuvent les dissocier et les réassocier dans le même ordre originel, ce qui explique les dématérialisations et les re-matérialisations. D’autre part, grâce au « point de Dieu », ils sont capables de faire croire n’importe quoi à n’importe qui, n’importe quand et n’importe où. Bref, ce sont des experts de l’illusion.

    Quelle est la finalité de cette manipulation ? Honnêtement je ne suis sûr de rien. J’ai bien émis une hypothèse cohérente dans mon dernier livre, mais je ne possède aucune preuve formelle pour en prouver le bien fondé. Aussi, comme rien ne détermine que ma façon d’entrevoir ce mystère est la bonne, le lecteur est libre de se forger lui-même sa propre opinion…


    OVNI : le phénomène de « Lune-double »
    Un mystérieux satellite : le Chevalier Noir

    En lisant le quotidien d’informations « Nice-Matin » du 18 janvier 1976, Jacques apprend que le 28 décembre 1975 l’astronome Charles Kowal avait découvert un astéroïde gravitant sur une orbite relativement proche de la Terre et de Vénus, mesurant entre 1.500 mètres et 3.000 mètres. L’article précisait également que cet objet émettait en phonie dans une langue inconnue. Jacques estime que c’est le même corps céleste qu’il a vu au Niger. Je me souviens d’ailleurs qu’à la même époque, j’ai lu cette information dans un journal parisien, mais il n’y eut aucune suite comme si ce corps céleste inconnu n’était plus observable. Jacques pense qu’il pouvait s’agir du « chevalier noir », étrange « satellite » vagabond découvert en novembre 1958, soit quatre mois après le lancement de Spoutnik le 4 octobre 1957. Il estime également que le commandant Conrad, astronaute américain, l’a observé en mai 1973 à bord du vaisseau spatial Skylab.


    D’énormes vaisseaux-mères ?

    J’ignore comment il faut interpréter cette affaire, mais je remarque que ce n’est pas la première fois que des témoins observent des sphères gigantesques dans notre atmosphère ou l’espace inter-planétaire. Plusieurs cas de « lune double » ont été signalés dans la littérature ufologique, et certains de ces objets ont été appelés « vaisseaux-mères », non seulement à cause de leur très grande taille, mais aussi parce que de plus petits objets ont été remarqués en sortant ou y rentrant. J’ai moi-même publié des témoignages d’astronomes dans mon livre « Ovnis : la solution du mystère ? ». Ils se répartissent dans la fourchette temporelle suivante : 1623-1991. Certains décrivent des objets sphériques inconnus dans nos cieux ainsi que dans l’espace entre le soleil et la Terre, et entre la Lune et notre planète. Par exemple, le 4 avril 1892, l’astronome hollandais Muller a vu un objet rond et tout noir qui traversait lentement le disque lunaire sur un trajet horizontal.


    Pour en savoir plus
    « Ovnis créateurs de l’Humanité », Jean Sider, Editions JMG.

    source : http://www.mondeinconnu.com/index.php/d ... /0/53.html

  • Guides vénusiens et Maîtres intraterrestres


     

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    Guides vénusiens et Maîtres intraterrestres

    Luis Fernando Mostajo Maertens est né à Cochabamba, en Bolivie, le 20 janvier 1964. Il est à la fois archéologue, architecte, artiste et musicien ; mais il est surtout connu pour avoir eu des contacts aussi bien avec des extraterrestres, notamment des Vénusiens, que des intraterrestres, habitant les cités de Lumière de la Terre Creuse. Ces contacts ont débuté lorsqu’il avait treize ans et se sont poursuivis depuis lors de manière quasiment ininterrompue. Il a été préparé pour devenir un instructeur, transmettre les techniques de développement interne, mental et spirituel qui lui ont été enseignées.

    Il a donné de nombreuses conférences dans la plupart des pays d’Amérique du Sud, mais aussi au Mexique, au Canada, aux États-Unis, en Espagne et même en Égypte. Il a également écrit et publié plusieurs livres, dans lesquels il décrit la nature de ses expériences avec ses Guides vénusiens et rapporte les grands messages d’éveil qu’ils lui ont transmis. Ils lui ont en effet demandé de devenir l’un de leurs porte-paroles auprès de notre humanité.

    Il est aujourd’hui considéré comme l’un des plus importants contactés de notre époque, car il est l’un des rares à avoir produit des preuves matérielles irréfutables de ses échanges avec d’authentiques membres de la Confédération des Planètes.

    Selon Mostajo, les Vénusiens ont une base terrestre située sous le lac Titicaca, en Bolivie, dans un emplacement qui se trouve à proximité de l’antique cité de Tiahuanaco, où se dressent d’ailleurs, au milieu des ruines, les vestiges d’un très ancien calendrier de pierre vénusien. Tihuanaco se trouvait jadis en bordure du lac et non dans le désert. Les Vénusiens y avaient permis le développement d’une extraordinaire civilisation solaire. Ils avaient en effet fondé jadis plusieurs colonies sur la Terre, dont il ne subsiste aujourd’hui que cette base située sous le lac Titicaca, où vivent également des descendants de rescapés du cataclysme atlantéen.

    Quant à la planète Vénus elle-même, dont on sait qu’elle est considérée par les scientifiques comme physiquement inhabitable en raison de son absence d’eau et de sa température élevée, elle abrite, selon Mostajo, une civilisation souterraine évoluée. Les Vénusiens possèdent comme nous des corps physiques, mais d’une densité vibratoire moindre, ce qui leur permet de se matérialiser ou de se dématérialiser très facilement et de s’adapter sans difficulté aux vibrations terrestres.

    À la demande des Maîtres de la Terre intérieure et des Guides vénusiens, Mostajo s’est rendu sur différents sites qui abritent des points de passage vers la Terre creuse, tels que le Mont Shasta en Californie, le volcan Moai à Hawaii, l’antique cité Maya de Copan au Honduras, le Macchupicchu au Pérou, Samaipata en Amazonie bolivienne, le mont Bugarach dans les Pyrénées françaises, Monserrat en Espagne, ainsi que certains sites de l’ancienne Égypte. Il a ensuite été autorisé à rejoindre le Temple des Sept Rayons, situé sous le lac Wiñaymarka qui est le nom donné à la partie sud du Titicaca. C’est dans ce lieu que résident actuellement les Guides de la Fraternité Blanche. Mostajo les y a rencontrés, et y a reçu plusieurs initiations.

    Il travaille désormais à l’édification de la cité idéale de Wiñaymarka, qui sera située à la surface, sur l’une des rives du lac, et qui doit devenir un modèle de cité solaire pour l’Âge d’Or.

    Voici un extrait du message qu’il nous a transmis depuis Hawaii.

     « Les Vénusiens font partie de la Confédération des Planètes. Selon eux, l'Univers entier est de l’Énergie Pure et cette Énergie agit de manière dynamique sur toutes les étoiles de la galaxie, qui se transfèrent continuellement de l’information. Ils pensent que la Terre, telle que nous la connaissons, n’a pas terminé son évolution. Elle est toujours en transformation. Ils ont, depuis des milliers d’années, instauré un Grand Plan d'assistance et d'aide à notre humanité. Ils sont actuellement présents parmi nous pour établir un contact, parce que cela fait partie de leur programme d'assistance. Ils pensent que nous devons prendre part à la transformation de la Terre et jouer un rôle dans les changements qui vont se produire.

    L’Énergie qui parvient jusqu’à nous provient du Soleil. Pendant des milliers d'années, elle s’est concentrée dans les montagnes mythiques du Tibet, principalement dans la région du lac Manasarovar. Mais, après la seconde guerre mondiale, un transfert s’est produit vers les Amériques. Et c’est une région située au sud du lac Titicaca qui est devenue le principal réceptacle du magnétisme cosmique.

    C’est dans cette région que les Guides extraterrestres ont jadis accompagné le développement des cultures sud-américaines ancestrales, jusqu'à l’avènement de l'Âge d'Or de la Civilisation Solaire de Tiahuanaco, à l’époque où la légendaire cité perdue de Païtiti connut également son apogée.

     Contrairement à Tiahuanaco, dont on a rétrouvé des vestiges en bordure du lac Titicaca, Païtiti n'a jamais été découverte et son emplacement demeure une énigme.

    Plusieurs explorateurs essaient en ce moment de localiser et de découvrir son emplacement exact. Mais d’autres civilisations que les civilisations Incas ont été inspirées par la culture solaire vénusienne. En Amérique du Nord, les Apaches sont des héritiers directs des Guides vénusiens. Malgré la réticence de certains gardiens de cette connaissance ancestrale, les informations qu'ils détiennent vont commencer à circuler, car elles peuvent et doivent désormais être comprises par le plus grand nombre possible de Terriens.

     

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    Il y a déjà quelques années, mes Guides m'avaient invité, avec six autres amis, à accéder à un endroit appelé "las Animas". Ils nous avaient expliqué qu'ils allaient venir avec leurs vaisseaux, confirmant la communication télépathique que j'avais reçue dès 1977. À la date qu’ils m’avaient indiquée, je me suis rendu avec mes amis à cet endroit. Il était environ 9 heures du soir lorsque j'ai vécu un événement qui a définitivement changé le cours de ma vie. Cinq objets différents illuminés des couleurs de l’arc-en-ciel sont apparus devant mes yeux. Ils ont commencé à envoyer des faisceaux de lumière, comme s’ils avaient des phares énormes, capables d’éclairer de grandes étendues de terre à des kilomètres à la ronde. Cela a duré pendant environ quinze minutes.

    Pendant ce temps, j’ai reçu télépathiquement une multitude d’informations. Les Guides m’ont annoncé qu’ils désiraient déclencher une nouvelle phase dans le processus de préparation de l’humanité à une rencontre physique avec eux – non pas parce qu'ils sont meilleurs que nous, mais parce que les champs d’énergies dans lesquels ils se déplacent sont différents des nôtres et qu’un ajustement est nécessaire. Ils ont expliqué qu’il nous fallait absolument élever nos vibrations spirituelles, que ce n’est qu’ainsi que nous pourrions nous préparer physiquement à vivre une nouvelle vie et à expérimenter une nouvelle civilisation. Ils nous ont également suggéré d’arrêter de manger de la viande et de commencer sans attendre à pratiquer un régime entièrement végétarien. C’est, selon eux, une condition indispensable à l’élévation de notre niveau vibratoire. Et cette condition doit impérativement être remplie par un très grand nombre d’êtres humains avant qu’ils ne puissent descendre et établir un contact avec l’ensemble de l’humanité.

    Les Guides affirment que le principal obstacle pour l'être humain est la peur de l'inconnu. Par conséquent, ils nous demandent d’apprendre à contrôler nos peurs, nos émotions, afin qu’un contact extraterrestre direct avec une partie importante de la population planétaire devienne possible.

    Ils m’ont ensuite préparé personnellement en m’invitant à me rendre tantôt seul tantôt en groupe dans des endroits particulièrement sauvages et inhospitaliers, afin que je parvienne à surmonter toutes mes peurs et à contrôler toutes mes émotions.

    Ce qu’il m’ont demandé de faire était parfois très difficile à réaliser. Je me souviens d’avoir pensé : « Puisque les Guides veillent sur moi, rien de mauvais ne peut m’arriver. » Mais lorsque vous marchez tout seul au milieu de la nuit en pleine forêt et que soudainement vous avez l’impression qu’une personne vous touche le dos, alors, croyez-moi, il est difficile de ne pas avoir la chair de poule !

    Plus tard, je me suis rendu compte que lorsque l’on vit ce genre d'expérience, il n’y pas que la peur qui se manifeste ; beaucoup d'autres émotions commencent également à monter à l'intérieur de soi : la détresse, la frustration, le sentiment d’être abandonné, l’impression de perdre la raison… Donc non seulement il vous faut apprendre à reconnaître ces émotions quand elles surviennent, mais vous devez également apprendre à les contrôler, et même finir par être capable de les utiliser consciemment. C'est ce qui constitue la préparation de la maîtrise de soi. Et dans mon cas, cette préparation a duré près de trois années.

    Durant ce processus de préparation, les Guides ont mis à ma disposition différents outils. Aussi étrange que cela puisse vous sembler, le plus merveilleux des cadeaux qu’ils m’ont offert est mon propre Nom, mon Nom cosmique qui est mon unique véritable Nom. Ils m’ont expliqué que tous les êtres vivants dans l'univers disposent de cette clé unique que nul autre que vous ne peut s’approprier. C’est votre Nom cosmique qui est en même temps le sésame de l’immortalité de votre âme.

    Lorsque vous commencez à travailler avec cette clé, tout devient magique : vos mémoires cellulaires commencent à s’éveiller, vous vous souvenez de qui vous êtes, vous vous souvenez d’où vous venez, vous vous souvenez de ce qu’est votre mission présente, et vous savez où vous devez aller dans le futur… Tout s’éclaire, tout s’organise et tout se met en place de la meilleure des manières possibles pour vous-même et pour votre âme.

    Durant l’une de mes expériences avec les Guides, ils m'ont demandé d'étendre mes mains. Lorsque je l'ai fait, un vaisseau est apparu juste au-dessus de moi. Il m'a envoyé une sorte d’énergie condensée qui est descendue dans mes mains, et qui s’est matérialisée sous la forme physique de deux pyramides.

     Une force inconnue a pénétré à l'intérieur de mon corps, à quelques centimètres au-dessus du thymus, là où se trouve le terminal de nos nerfs radiaux qui permet à l'organisme d’assimiler l'énergie. Ils m'ont expliqué que cet outil n’est pas uniquement destiné aux êtres spirituels qui œuvrent en faveur du changement, mais qu’il a également été transmis à la Terre pour l’aider à se transformer.

    Je suis loin d’être le premier à avoir reçu cette forme d’énergie matérialisée. Si vous vous souvenez, il est mentionné dans la Bible que lorsque le peuple d'Israël quitta l’Egypte, Moïse reçut des prêtres en offrande deux pierres, connues sous les noms d’Ourim et de Thumim et qui renfermaient la même énergie. Ici en Amérique du Nord, Joseph Smith a également reçu deux pierres blanches afin de pouvoir traduire les plaques d'or qui lui avaient été transmises par le Guide vénusien Moroni.

     Selon Joseph Smith, le soir du 21 septembre 1823, alors qu'il priait intensément, une lumière emplit sa chambre, et un messager céleste, nommé Moroni, lui serait apparu et lui aurait révélé que des annales anciennes, gravées sur des plaques d'or, étaient enterrées dans une colline voisine et que lui, Joseph Smith, devrait traduire en anglais ce texte sacré.

     Les plaquettes d'or de Joseph Smith

    Les Guides extraterrestres ont donné à certains d’entre nous ces outils pour nous permettre d'éveiller notre sixième sens et d’ouvrir nos yeux spirituels sur les dimensions supérieures. Ainsi, au bout de trois ans, je me suis familiarisé avec l'ensemble de leur flotte. Je connais maintenant chacun de leurs vaisseaux, et ce qu’il m’a été donné de voir, tous ceux qui m’accompagnaient en ont également été témoins.

    L’un de leurs vaisseaux avait pour mission de m’ouvrir une porte dimensionnelle qu’ils nomment "porte de transfert". Ces portes concentrent de l’énergie lumineuse sur les individus et provoquent une accélération de leurs vibrations, ce qui a pour effet de dématérialiser les molécules de leur corps afin qu’ils puissent se projeter à l'endroit où ils sont attendus. Ce n'est pas de la science-fiction. Des scientifiques russes ont d’ailleurs déjà découvert ce procédé et ils essayent en ce moment de développer une machine à téléporter. Aux États-Unis, l’expérience de Philadelphie a déjà permis de faire disparaître un bateau entier avec tout son équipage pour le faire réapparaître ailleurs un peu plus tard. Mais comme les Américains ne maîtrisent pas cette technologie, on a frôlé la catastrophe.

    Le destroyer USS Eldridge

    L'expérience de Philadelphie (parfois désignée sous le nom de Project Rainbow) est une expérience militaire secrète de la marine américaine qui eut lieu dans les chantiers navals de Philadelphie en octobre 1943. Elle consista à rendre invisible pendant un bref moment le destroyer USS Eldridge. Selon un survivant de l'expérience, ce navire fut rendu invisible puis téléporté aller-retour entre Philadelphie et Norfolk (Virginie). Mais l'expérience ne se déroula pas comme prévu : certains membres d'équipage devinrent fous, d'autres disparurent ou fusionnèrent avec la coque du bateau lors de sa dématérialisation. Ces conséquences inattendues ont, semble-t-il, convaincu la Marine américaine d'abandonner le projet. Mais rien ne permet aujourd’hui d’affirmer que cet abandon ait été définitif.

    Les Guides de Vénus savent que l'être humain, depuis sa naissance, apprend par imitation. Ainsi, ceux qui entrent en contact avec une civilisation différente qui est beaucoup plus évoluée que la nôtre – qui est allée au-delà de la guerre, de la maladie, de la souffrance et de la pénurie – peuvent commencer à comprendre que cette civilisation avancée repose sur un concept plus élevé de la vie, et ils peuvent le partager avec d'autres personnes dans les endroits où ils vivent. Chacun peut aider des personnes qui ensuite en aideront d'autres, et c’est ainsi que les mentalités peu à peu évoluent. Certains croient encore qu'un immense vaisseau va descendre du ciel et comme par magie tout changer pour nous. Non. C'est l'être humain qui doit assumer la responsabilité du changement. C’est maintenant que nous devons complètement prendre en charge notre destin.

    Après trois années de préparation, alors que je me trouvais dans un endroit isolé au milieu de la Cordillère des Andes, ils m'ont contacté et m’ont averti qu'à huit heures du soir, un vaisseau allait se matérialiser dans une vallée appelée "Valle Potosi", et que l’équipage du vaisseau déclencherait l’ouverture d’une porte par laquelle je serais capable de me rendre auprès d’eux. Ils m’ont expliqué qu’ils allaient m’emmener dans une ville qui ne se trouve pas sur la planète Terre, mais sur Vénus dans une vallée qu’ils nomment la Vallée du Silence. C'est l'endroit où se trouve l'Académie des Sciences Spirituelles de cette civilisation.

    Dès que j’ai atteint Valle Potosi, un vaisseau est apparu entre deux collines. Ce vaisseau s’est mis à émettre des impulsions qui semblaient produire de l’énergie. Cette énergie s’est rapidement condensée sous la forme d’une demi-lune d'une couleur blanchâtre et brillante. Une fois l'énergie matérialisée, ils m'ont dit : « Viens ! » J’ai senti mon cœur tressaillir. Mais ils ont répété : « Viens ! »

    J'ai fait ce qu’ils m’avaient demandé. J’ai commencé à marcher vers l'énergie provenant du vaisseau. Je suis passé à travers le champ d’énergie de la demi-lune et immédiatement je me suis senti sans poids. J'ai eu une sensation de vertige, comme lorsque vous volez dans un avion qui traverse des turbulences, et que l’on a beaucoup de pression dans la tête et dans la poitrine. Je voulais partir, mais je ne pouvais pas car j’étais entouré par le champ d’énergie qui me tirait en avant et mes pieds ne touchaient plus le sol.

    Très rapidement la nuit étoilée des Andes a commencé à se transformer en une vallée magique. Le ciel avait des formes multicolores. Juste à ma droite, un grand et très bel être s’est présenté à moi. Il m’a dit : « Ne vous inquiétez pas. Vous êtes ici parce que l'heure est venue de vous montrer tout ce dont je vous ai parlé avant. Mon nom est E'tel. Pendant le temps que vous passerez ici avec nous, nous allons vous donner de nouvelles informations sur votre future mission. »

    Puis il a commencé à me parler de l’aspect étrange qu’avait le ciel au-dessus de nos têtes. Il m’a expliqué que cela provenait de la réaction des nuages qui entouraient Vénus au phénomène connu sous le nom de "pluie solaire". C'est ce qui produisait ce ciel multicolore. Sur la planète Terre, il y a quelque chose de similaire qu’on nomme aurore boréale.

    Il a dit que leur vie sur Vénus est souterraine. Lorsqu'une civilisation est plus évoluée, elle ne construit plus au-dessus du sol, mais principalement en souterrain. Et il y a une explication à cela. Les civilisations les plus évoluées de notre univers sont installées aussi près que possible du noyau des planètes qui les abritent, au contact direct de l'énergie tellurique.

    Il m’a également expliqué que les Vénusiens n’utilisaient pas les angles, mais qu’ils construisaient des bâtiments circulaires et coniques. Cela m’a rappelé les tepees des natifs américains du Nord. Il a ajouté que leur population actuelle compte moins de cinq millions de personnes qui vivent toutes à l’intérieur de la planète et que les femmes y sont largement majoritaires.

    La civilisation de Vénus ressemble beaucoup à la nôtre, mais il serait préférable de dire que c’est la nôtre qui est très semblable à la leur. Et il y a une raison simple à cela : il y a plusieurs milliers d’années, notre génome a été modifié par les Vénusiens pour nous aider à évoluer comme eux. Comment expliquer sinon que nous ayons réussi, en un laps de temps aussi court, à nous extraire de l’âge des cavernes et soyons devenus capables d’organiser des voyages dans l'espace ? C’est grâce à l’apport des Vénusiens que nous avons pu sauter quelques étapes !

    Les Vénusiens ont les yeux clairs et la peau blanchâtre. Ils sont plutôt sveltes et athlétiques. Ils portent des combinaisons qui épousent parfaitement leurs corps. Ils se nourrissent un peu de la même manière que nous, mais ils se limitent à une alimentation strictement végétalienne. Un grand nombre d’organes que nous possédons encore ont totalement disparu chez eux. Nous les avons encore parce que nous consommons plus que ce que nous devrions. Ils continuent à s’accoupler pour procréer. Mais leurs étreintes sont légères et agréables en raison de la dimension spirituelle qu’ils donnent à leurs unions.

    Ils disent que si nous voulons nous réveiller et continuer d’avancer en tant qu’espèce, nous avons besoin de nous éveiller intérieurement et de nous aider les uns les autres. Il y a une chaîne d'évolution dans l'Univers. Certains d'entre eux ont atteint un niveau très élevé de développement social. Ils sont en mesure de partager cela librement avec des gens comme nous.

    E'tel m’a expliqué que pour parvenir à la véritable spiritualité, il n’est pas nécessaire de monter en haut d’une montagne ni de s'asseoir et de méditer pendant des heures. Il suffit de connaître et de comprendre les lois de la nature et de vivre en harmonie avec elle. La véritable spiritualité n'est pas inaccessible. Elle est très proche de nous. Il suffit de changer d’attitude envers la nature, de penser et d’agir positivement pour s’élever spirituellement.

    Il m'a présenté à trois Aînés – les Sages de Vénus. Ils m’ont parlé avec amour dans un langage universel qui n'est pas seulement télépathique, mais qui consiste en une série d'idéogrammes qui constituent une sorte de base de données. Nous connaissons cela sous le nom de "données akashiques". C'est une sorte de mémoire collective qui se trouve dans la ceinture de radiations entourant la Terre que les scientifiques nomment "Ceinture de Van Allen". Tout y est continuellement enregistré : chacune de nos pensées, chacun de nos actes et jusqu’à la plus fugitive de nos émotions. Dans sa forme physique, cette ceinture comporte sept niveaux superposés. C'est ce que m’ont expliqué les Aînés.

    Les données akashiques de la Terre sont protégées par le gouvernement interne de la Terre. Ce Gouvernement collégial est connu sous le nom de Grande Fraternité Blanche. Et cette Grande Fraternité Blanche a été formée en vue d’aider l’humanité à survivre à la destruction de l'ancienne civilisation d’Atlantis. Avant la disparition de cette civilisation, les aînés de l'Atlantide ont protégé leurs connaissances en les plaçant en différents endroits situés à l'intérieur de la planète. C'est dans l’un de ces sites que siège le Gouvernement positif de la Terre. Ceux qui le composent attendent avec amour que l'humanité parvienne à maturation avant de nous transmettre cette connaissance et de nous apprendre à l’utiliser, car nous encourons toujours le risque de reproduire les mêmes erreurs que par le passé. C'est ainsi que cela m’a été transmis.

    L’une des cités intérieures se trouve près de l’endroit où j'avais l'habitude de vivre en bordure du lac Titicaca, à proximité de sa partie sud à laquelle on a donné le nom de Lago Wiñaymarka dans le langage aymara. Près de ce lac, il y a un temple caché de la Fraternité Blanche. Une partie de ma mission consiste à rester en contact avec ces êtres parce qu’ils ont compris l'objectif de la Terre et de la Création du Cosmos et qu’ils peuvent nous aider à nous y conformer.

    Toute la population des cités de l’intérieur a bénéficié des connaissances des Vénusiens et des avancées de leur civilisation. D’après ce qu’ils disent, notre monde est actuellement divisé en quatre régions. Lorsque les quatre régions s'uniront, elles formeront ce qu'on appelle la Chakana. La Chakana est la croix carrée andine. Elle s’obtient également en projetant sur une surface plane les 4 faces de la pyramide avec le socle. La pyramide est le symbole de l’éternité, et Wiñaymarka, dans le langage Aymara, veux dire "Ville Éternelle".

     

    La Chakana

    Un an après mon voyage interdimensionnel et ma rencontre avec les Guides de Vénus, ils m’ont recontacté, mais cette fois, cela c'est produit dans ma propre maison. Lorsque j'étais sur le point d’aller dormir, l'un des Anciens s’est présenté devant moi par projection holographique. La première chose que j'ai remarquée était la lumière qui sortait de ses yeux. Il m'a expliqué comment les yeux sont le miroir de l'âme. Juste après cela, je me suis rendu compte qu’il faisait partie des Aînés, mais avec des caractéristiques nordiques. Il avait des cheveux longs, droits et blancs et une barbe très fine.

    Il s’est présenté sous le nom de Soromis, et il m’a simplement dit : « La clé qui peut ouvrir la porte de votre conscience, c’est d’aimer Dieu au-dessus de tout et d’aimer les autres comme vous vous aimez vous-même. » Ces paroles, pourtant déjà bien connues de milliards d’individus sur cette Terre, et que, bien sûr, je connaissais déjà moi-même, ont produit en moi un sentiment semblable à un tremblement de Terre. Jamais je n’ai été bouleversé de la sorte. L'Aîné a ajouté : « La vraie réalisation n’est pas très éloignée de vous. Elle est même très proche pour chacun d’entre vous si vous acceptez de vous diriger vers votre propre Lumière. »

    À ce moment là, j’ai enfin réalisé qu’il est impossible de comprendre le sens de ces paroles avec son mental ; on ne peut en percevoir le contenu qu’à travers le cœur. Les Anciens s’adressent à notre cœur, pas à notre esprit. Leur énergie, leurs pensées et leurs mots expriment un certain niveau vibratoire auquel vous accédez au-delà de ce que vous entendez. Ils éclairent votre compréhension.

    J'ai compris à cet instant que si Dieu est Amour, alors la seule façon de se connecter avec cette Source d’Amour, c’est d’ouvrir son cœur et de donner soi-même son amour aux autres. Il n'y a aucun avancement possible sans service. Mais vous ne pouvez pas donner aux autres ce que vous n'êtes pas en mesure de trouver à l'intérieur de vous-mêmes. C'est pourquoi la première tâche de l’homme est d’apprendre à s’aimer lui-même. Cependant, s'aimer soi-même ne veut pas dire s’examiner dans le miroir et se dire : « WOW, que je suis beau ! Maintenant je peux sortir et aller à la rencontre des autres. » La pratique de l’amour de soi consiste à apporter une nourriture adaptée à chaque plan de son développement – le plan physique, le plan émotionnel, le plan mental et le plan spirituel. C’est ainsi que l’on devient un être complet.

    J'ai enfin compris que le véritable Amour n'est pas ce qui nous a été appris. Il n'est pas aveugle. Le véritable Amour est conscient et intelligent car il nous permet de donner aux autres exactement ce dont ils ont besoin. L'Aîné n’était pas là uniquement pour me dire cela, mais aussi pour m’inviter à m'intégrer au cercle lumineux de la Fraternité Blanche. Il m’a convié à me rendre dans la Terre intérieure afin que je puisse y découvrir l’Initiation Solaire.

    Cette expérience m’a mené bien au-delà de toutes les précédentes.

    Et bien d’autres que moi sont sur le point de la vivre, car aujourd'hui, les Anciens ont ouvert leurs portes, afin que leur sagesse et leurs connaissances puissent atteindre l’ensemble de l'humanité et la mener jusqu’à la Nouvelle Époque. »

    Luis Fernando Mostajo Maertens
    Propos réunis par Olivier de Rouvroy
    Juillet 2012

    PS D’extraordinaires révélations d’autres grands contactés actuels ou du siècle passé sont disponibles dans mon nouveau livre Contacts extraterrestres pour l’Ère Nouvelle.

    Ils ont pour noms George Adamski, Howard Menger, George Hunt Williamson, Orfeo Angelucci, Dino Kraspedon, Eugenio Siragusa, Pierre Monnet, Billy Meier, Jean Miguères, José Trigueirinho, Miriam Delicado, Jim Sparks, Alex Collier, Jean-Paul Appel-Guéry, Lou Baldin et Sheldan Nidle.

    La plupart d’entre eux n’ont pas hésité à sacrifier leur carrière, leur réputation, le confort douillet de leur vie familiale, acceptant souvent d’être ridiculisés, traînés dans la boue, menacés, parfois même torturés, afin que la vérité sur la question des extraterrestres puisse enfin être dévoilée.

    Leurs témoignages concordent tous et projettent un nouvel éclairage sur la grande opération que les membres dispersés de notre famille galactique mettent en ce moment même et conjointement en place afin de se manifester massivement sur la Terre et de nous aider à y instaurer notre future civilisation, la civilisation de l’Âge d’Or.