Attention aux croyances COLLE-AI-QUEUES-T'HIII-V, comme la 'cour-rageuse' et 'perd-ss'pis-casse' Sophia..., beaucoup s'y sont d'abord laissés prendre..., pour happe-prendre... par "le pire", puis pour réagir en leurs dits-eus et croyances à dépendances folles (ou autres démons intérieurs trop démontés et remontés...) :
- http://www.lateledelilou.com/Abus-sexuels-a-une-sexualite-positive-Sophia-Lessard-sexologue-29-min_a1243.html
Ma soeur en sueur hiii-toux !§!
AIDER à CO-CREER les meilleurs futurs possible en les imaginant aboutir en notre futur :
"Le passé peut être modifié, car il n’est pas plus fixe que le futur. Dans les années à venir, la technologie de l’ingénierie génétique refera surface avec un saut dans le progrès. Ces fautes ne peuvent se reproduire. C’est ainsi que vous pouvez aider les vestiges de l’Ile du Docteur Moreau. Et par ailleurs, les Yétis et Sasquatchs s’échapperont bientôt de la physicalité dans les énergies à venir. Leur extinction choisie par eux est déjà en route. Et ils ne pourront subsister dans l’énergie cristalline de l’Ascension.
Vous ne permettrez pas que cela se reproduise , et c’est ainsi que vous effacerez le passé. En vous engageant dans le futur qui annule le passé. Telle est la maya de l’illusion intentionnelle que vous appelez temps à l’Université de la Terre."
"« – 78%, c’est quand même le futur le plus probable actuellement, reconnaît la femme en toge blanche. Une humanité d’enfants dépités pataugeant à la surface d’un monde mort; des enfants livrés à eux-mêmes, en colère contre leurs ancêtres. Ils ont raison d’en vouloir à ceux qui les ont oubliés et négligés pour satisfaire leurs besoins immédiats.
– Montre-moi d’autres futurs possibles, répond la jeune fille.
- Alors les deux femmes survolent les branches bleues de l’Arbre du Temps et atterrissent sur d’autres pommes transparentes, remplies chacune d’une planète bleue similaire à la Terre.
- Elles vont vers un monde-fruit, portant sur sa feuille l’inscription « Probabilité d’existence de ce futur dans le prochain millénaire : 1,3% ».
– Voici un avenir à probabilité faible, dit la prêtresse, mais il devrait t’intéresser.
- Elles s’approchent de la paroi de verre puis la traversent. Elles fendent le manteau de nuages et survolent Paris. La capitale semble étonnamment calme vue d’en haut. La tour Eiffel est recouverte d’une fourrure de lierre parsemée de fleurs blanches et mauves. Sur la seine circulent des jonques nonchalantes aux voiles rouges. L’air est léger, les rues sont fluides, parcourues de rares vélos.
- Le Trocadéro est transformé en un vaste parc où paissent des animaux sauvages. Autour d’une flaque d’eau profonde, les deux femmes issues d’un autre espace-temps distinguent des éléphants, des girafes, des buffles, des hérons. Ces espèces semblent cohabiter sans peur. Plus loin, des lions et des guépards font la sieste, allongés sur les statues qui bordent l’avenue. Il y a des fruits qui pendent aux arbres, des oiseaux aux larges ailes dans le ciel.
- Les deux Cassandre descendent et voient que les piétons portent des vêtements amples de coton aux couleurs vives : jaune, rouge, bleu, vert, mauve, turquoise. Personne n’est habillé en noir.
- Elles rejoignent un couple de personnes aux cheveux blancs assises sur un banc public. Spontanément la femme leur propose des fruits et des légumes tirés de son panier. Elles les goûtent et leur trouvent une saveur rare.
- Qu’est-ce que vous faites là ? demande la jeune Cassandre.
– Ce qui est sûr, c’est qu’on ne travaille pas, s’amuse la femme.
- L’homme leur explique que l’idée de « travail » a disparu pour laisser place à la notion d’expression de son « talent particulier ». Chacun exerce sa passion à son rythme personnel. La notion de famille a également disparu, pour être remplacée par celle de personnes liées par un sentiment d’affection. La notion de guérison a été remplacée par le principe de prévention. Chacun se débrouille pour ne pas être malade et, du coup, nul n’a besoin de soigner les symptômes d’un déséquilibre intérieur plus ancien. Les gens vivent moins agités mais plus longtemps. Les deux personnes chenues révèlent d’ailleurs être âgées de plus de trois cents ans. Elles semblent pourtant en pleine forme.
– Nous faisons de la gymnastique, de la danse, des assouplissements et surtout, nous respirons bien, explique la femme, en montrant comment elle sait inspirer amplement.
– Comme nous vivons plus longtemps, nous n’avons pas besoin de faire beaucoup d’enfants, souligne le vieil homme.
– Et vu qu’on fait peu d’enfants, on a du temps pour les aimer et s’en occuper énormément, complète sa compagne en désignant un couple en train de jouer avec un garçon de 6 ans. En tout nous privilégions la qualité à la quantité.
- Un lion passe paisiblement en secouant la tête et s’approche de la vieille femme qui lui caresse la crinière comme elle le ferait un gros chat. Puis elle croque un légume avec appétit.
– Nous sommes végétariens, signale le vieil homme, cela nous fatigue moins le système digestif.
– Nous apprenons à l’école à respirer et à dormir, poursuit sa compagne. Nous apprenons aussi à l’école à écouter notre corps de l’intérieur.
- Je ne vois pas de pauvres, s’informe la jeune Cassandre.
– Pour qu’il y ait des pauvres, il faudrait que la notion de propriété existe encore. Ici, rien n’appartient à qui que ce soit. Chacun prend ce dont il a besoin. Et s’il n’arrive pas à le trouver tout seul, les autres le lui procurent, pour le plaisir d’aider. C’est un peu comme un grand kibboutz ou une communauté hippie. Pas d’argent, pas de portes fermées, pas de passeport ou de papiers d’identité. Seulement des gens qui vivent ensemble avec pour règle : « La liberté s’arrête là où commence la gêne des autres. »
- Les deux Cassandre remercient en chœur le couple pour ses informations, puis décident de visiter ce futur possible. Elles se promènent le long des berges de la Seine.
- Il te plaît ce futur ? En réalité, il est imaginé par toi, ici et maintenant. Et c’est parce qu’il a été rêvé par toi qu’il a une possibilité d’exister.
- Et la guerre ?
- Trop fatiguant. La plupart de ces gens sont devenus paresseux. Tu as vu, ils ne cultivent même pas les plantes. Tous ces arbres fruitiers poussent au petit bonheur la chance. Et personne ne meurt de faim. Pas de pauvres, pas de surpopulation, pas de nations, pas de possession, pas d’exclusion, pas de religion, pas de guerre…
- Je veux rester ici, articule-t-elle.
- Ce monde n’existe pas encore. Si tu veux qu’il naisse un jour, à toi de lui donner les moyens d’émerger des autres fruits de l’Arbre du Temps. »
Extrait du livre ‘Le Miroir de Cassandre’ de Bernard Werber
Source : Un Esprit Eclairé – par Valérie Charoux"
(http://terrenouvelle.ca/Messages/2013/11/04/vierges-au-paradis/)
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Attention aux croyances COLLE-AI-QUEUES-T'HIII-V, comme la 'cour-rageuse' et 'perd-ss'pis-casse' Sophia..., beaucoup s'y sont d'abord laissés prendre..., pour happe-prendre... par "le pire", puis pour réagir en leurs dits-eus et croyances à dépendances folles (ou autres démons intérieurs trop démontés et remontés...) :
- http://www.lateledelilou.com/Abus-sexuels-a-une-sexualite-positive-Sophia-Lessard-sexologue-29-min_a1243.html
Ma soeur en sueur hiii-toux !§!
AIDER à CO-CREER les meilleurs futurs possible en les imaginant aboutir en notre futur :
"Le passé peut être modifié, car il n’est pas plus fixe que le futur. Dans les années à venir, la technologie de l’ingénierie génétique refera surface avec un saut dans le progrès. Ces fautes ne peuvent se reproduire. C’est ainsi que vous pouvez aider les vestiges de l’Ile du Docteur Moreau. Et par ailleurs, les Yétis et Sasquatchs s’échapperont bientôt de la physicalité dans les énergies à venir. Leur extinction choisie par eux est déjà en route. Et ils ne pourront subsister dans l’énergie cristalline de l’Ascension.
Vous ne permettrez pas que cela se reproduise , et c’est ainsi que vous effacerez le passé. En vous engageant dans le futur qui annule le passé. Telle est la maya de l’illusion intentionnelle que vous appelez temps à l’Université de la Terre."
(extrait de...
http://terrenouvelle.ca/Messages/2013/11/04/le-point-de-vue-de-metatron-sur-les-yetis/)
"« – 78%, c’est quand même le futur le plus probable actuellement, reconnaît la femme en toge blanche. Une humanité d’enfants dépités pataugeant à la surface d’un monde mort; des enfants livrés à eux-mêmes, en colère contre leurs ancêtres. Ils ont raison d’en vouloir à ceux qui les ont oubliés et négligés pour satisfaire leurs besoins immédiats.
– Montre-moi d’autres futurs possibles, répond la jeune fille.
- Alors les deux femmes survolent les branches bleues de l’Arbre du Temps et atterrissent sur d’autres pommes transparentes, remplies chacune d’une planète bleue similaire à la Terre.
- Elles vont vers un monde-fruit, portant sur sa feuille l’inscription « Probabilité d’existence de ce futur dans le prochain millénaire : 1,3% ».
– Voici un avenir à probabilité faible, dit la prêtresse, mais il devrait t’intéresser.
- Elles s’approchent de la paroi de verre puis la traversent. Elles fendent le manteau de nuages et survolent Paris. La capitale semble étonnamment calme vue d’en haut. La tour Eiffel est recouverte d’une fourrure de lierre parsemée de fleurs blanches et mauves. Sur la seine circulent des jonques nonchalantes aux voiles rouges. L’air est léger, les rues sont fluides, parcourues de rares vélos.
- Le Trocadéro est transformé en un vaste parc où paissent des animaux sauvages. Autour d’une flaque d’eau profonde, les deux femmes issues d’un autre espace-temps distinguent des éléphants, des girafes, des buffles, des hérons. Ces espèces semblent cohabiter sans peur. Plus loin, des lions et des guépards font la sieste, allongés sur les statues qui bordent l’avenue. Il y a des fruits qui pendent aux arbres, des oiseaux aux larges ailes dans le ciel.
- Les deux Cassandre descendent et voient que les piétons portent des vêtements amples de coton aux couleurs vives : jaune, rouge, bleu, vert, mauve, turquoise. Personne n’est habillé en noir.
- Elles rejoignent un couple de personnes aux cheveux blancs assises sur un banc public. Spontanément la femme leur propose des fruits et des légumes tirés de son panier. Elles les goûtent et leur trouvent une saveur rare.
- Qu’est-ce que vous faites là ? demande la jeune Cassandre.
– Ce qui est sûr, c’est qu’on ne travaille pas, s’amuse la femme.
- L’homme leur explique que l’idée de « travail » a disparu pour laisser place à la notion d’expression de son « talent particulier ». Chacun exerce sa passion à son rythme personnel. La notion de famille a également disparu, pour être remplacée par celle de personnes liées par un sentiment d’affection. La notion de guérison a été remplacée par le principe de prévention. Chacun se débrouille pour ne pas être malade et, du coup, nul n’a besoin de soigner les symptômes d’un déséquilibre intérieur plus ancien. Les gens vivent moins agités mais plus longtemps. Les deux personnes chenues révèlent d’ailleurs être âgées de plus de trois cents ans. Elles semblent pourtant en pleine forme.
– Nous faisons de la gymnastique, de la danse, des assouplissements et surtout, nous respirons bien, explique la femme, en montrant comment elle sait inspirer amplement.
– Comme nous vivons plus longtemps, nous n’avons pas besoin de faire beaucoup d’enfants, souligne le vieil homme.
– Et vu qu’on fait peu d’enfants, on a du temps pour les aimer et s’en occuper énormément, complète sa compagne en désignant un couple en train de jouer avec un garçon de 6 ans. En tout nous privilégions la qualité à la quantité.
- Un lion passe paisiblement en secouant la tête et s’approche de la vieille femme qui lui caresse la crinière comme elle le ferait un gros chat. Puis elle croque un légume avec appétit.
– Nous sommes végétariens, signale le vieil homme, cela nous fatigue moins le système digestif.
– Nous apprenons à l’école à respirer et à dormir, poursuit sa compagne. Nous apprenons aussi à l’école à écouter notre corps de l’intérieur.
- Je ne vois pas de pauvres, s’informe la jeune Cassandre.
– Pour qu’il y ait des pauvres, il faudrait que la notion de propriété existe encore. Ici, rien n’appartient à qui que ce soit. Chacun prend ce dont il a besoin. Et s’il n’arrive pas à le trouver tout seul, les autres le lui procurent, pour le plaisir d’aider. C’est un peu comme un grand kibboutz ou une communauté hippie. Pas d’argent, pas de portes fermées, pas de passeport ou de papiers d’identité. Seulement des gens qui vivent ensemble avec pour règle : « La liberté s’arrête là où commence la gêne des autres. »
- Les deux Cassandre remercient en chœur le couple pour ses informations, puis décident de visiter ce futur possible. Elles se promènent le long des berges de la Seine.
- Il te plaît ce futur ? En réalité, il est imaginé par toi, ici et maintenant. Et c’est parce qu’il a été rêvé par toi qu’il a une possibilité d’exister.
- Et la guerre ?
- Trop fatiguant. La plupart de ces gens sont devenus paresseux. Tu as vu, ils ne cultivent même pas les plantes. Tous ces arbres fruitiers poussent au petit bonheur la chance. Et personne ne meurt de faim. Pas de pauvres, pas de surpopulation, pas de nations, pas de possession, pas d’exclusion, pas de religion, pas de guerre…
- Je veux rester ici, articule-t-elle.
- Ce monde n’existe pas encore. Si tu veux qu’il naisse un jour, à toi de lui donner les moyens d’émerger des autres fruits de l’Arbre du Temps. »
Extrait du livre ‘Le Miroir de Cassandre’ de Bernard Werber
Source : Un Esprit Eclairé – par Valérie Charoux"
(http://terrenouvelle.ca/Messages/2013/11/04/vierges-au-paradis/)