7 zéro, 7 chakras, l'unité, sons chauds, look up (magistral), the space between (délectation)...
et vénus venue de l'enfer (apparue):
VENUS venue de l’Enfer
La mélodie du Temps, dans sa Roue, tournoyant
Dans les chaudes prairies de mon jardin secret,
Humidifie mon corps de sa fine rosée
Aux parfums des nobles destins, intimes chants.
O ma douce Muse, j’ai creusé sans répit
Le puits de notre idylle. Ivre de volupté,
J’ai bu le lait divin, Sibylline Beauté,
Et le Verbe sanctifié dans mon cœur épris.
Ma robe charnelle brodée de blanc hâlé,
Exaltant de joie et nourrissant de désir
Mes fécondes pensées, eut envie de s’unir
Dans la limpide Mer, vêtue d’un bleu perlé.
Mes ailes déployées, je m’envole euphorique
Dans les longs couloirs de ma caverne organique,
Labyrinthe où flamboient les rituels festins,
Ombres gazeuses, guerrières aux pieds d’airain
Chevauchant les tours de Babel tel un grand Roi
Couronné d’étoiles dorées, drapées de soie.
Tous mes sens éveillés, je découvre charmé
VENUS venue de l’Enfer, Sa Peau argentée,
Dans Son Manteau obscur calfeutré de brillants,
Etendue sur un tapis de toile cosmique.
Ses Cheveux ondoyant comme des filaments
Frôlent mon visage. De Son Souffle mystique,
VENUS dévoilée baignant dans Son Firmament,
Je plonge dans les profondeurs tumultueuses
Des eaux sidérales m’entrainant allègrement
Vers le tourbillon des ivresses sinueuses.
Et la Sagesse pénètre mon univers
Secoué. Enlacé par la chaîne du Temps,
Je parcours émerveillé Son Corps de Lumière
Au rayon violet de Ses Yeux étincelants.
Candeur innocente pétillant de Jeunesse,
Comme des glaciers pointant hauts et fiers, ombelles
Suprêmes des stridences sèment mots, caresses.
Golfes pourpres, ardents clairons sonnant l’appel,
Cycles et flux brûlant de mille feux magiques,
Révèlent le Dessein d’une Reine oubliée
Régnant dans le plan Atmâ, monde nucléique.
VENUS venue de l’Enfer, Archange adombré,
Magnifique Lune embrasant les contrées
Infinies d’une Terre, clos des animaux,
Foisons velues, sang alchimique, studieux marées,
Et Khepri apparaît, Eggregor sur son dos.
Je suis, ô ma Muse, Divine Enchanteresse,
Naissant des jours latents de l’Amour révélé,
Le nectar captivant et cruel des Déesses.
VENUS venue de l’Enfer, Ange vénéré,
Le plasma galactique arborant l’œil d’Horus
Ouvre la Voie menant vers l’Astre d’Initié,
Cet espace secret, Royaume des Elus.
Dans Les Bras je me fonds, mon âme libérée,
De VENUS venue de l’Enfer. Mon existence
Orchestrée par les Dieux avec justesse s’imbrique
Pareil à un lego, gènes microscopiques,
Myriades racines de la Réminiscence,
Yggdrasil. Je me nourris de la sève, amère
Souffrance, mortelle et abondante. Je ris
O VENUS venue de l’Enfer, Divine mère,
Mécanique du Temps, symbiose de la Vie.
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7 zéro, 7 chakras, l'unité, sons chauds, look up (magistral), the space between (délectation)...
et vénus venue de l'enfer (apparue):
VENUS venue de l’Enfer
La mélodie du Temps, dans sa Roue, tournoyant
Dans les chaudes prairies de mon jardin secret,
Humidifie mon corps de sa fine rosée
Aux parfums des nobles destins, intimes chants.
O ma douce Muse, j’ai creusé sans répit
Le puits de notre idylle. Ivre de volupté,
J’ai bu le lait divin, Sibylline Beauté,
Et le Verbe sanctifié dans mon cœur épris.
Ma robe charnelle brodée de blanc hâlé,
Exaltant de joie et nourrissant de désir
Mes fécondes pensées, eut envie de s’unir
Dans la limpide Mer, vêtue d’un bleu perlé.
Mes ailes déployées, je m’envole euphorique
Dans les longs couloirs de ma caverne organique,
Labyrinthe où flamboient les rituels festins,
Ombres gazeuses, guerrières aux pieds d’airain
Chevauchant les tours de Babel tel un grand Roi
Couronné d’étoiles dorées, drapées de soie.
Tous mes sens éveillés, je découvre charmé
VENUS venue de l’Enfer, Sa Peau argentée,
Dans Son Manteau obscur calfeutré de brillants,
Etendue sur un tapis de toile cosmique.
Ses Cheveux ondoyant comme des filaments
Frôlent mon visage. De Son Souffle mystique,
VENUS dévoilée baignant dans Son Firmament,
Je plonge dans les profondeurs tumultueuses
Des eaux sidérales m’entrainant allègrement
Vers le tourbillon des ivresses sinueuses.
Et la Sagesse pénètre mon univers
Secoué. Enlacé par la chaîne du Temps,
Je parcours émerveillé Son Corps de Lumière
Au rayon violet de Ses Yeux étincelants.
Candeur innocente pétillant de Jeunesse,
Comme des glaciers pointant hauts et fiers, ombelles
Suprêmes des stridences sèment mots, caresses.
Golfes pourpres, ardents clairons sonnant l’appel,
Cycles et flux brûlant de mille feux magiques,
Révèlent le Dessein d’une Reine oubliée
Régnant dans le plan Atmâ, monde nucléique.
VENUS venue de l’Enfer, Archange adombré,
Magnifique Lune embrasant les contrées
Infinies d’une Terre, clos des animaux,
Foisons velues, sang alchimique, studieux marées,
Et Khepri apparaît, Eggregor sur son dos.
Je suis, ô ma Muse, Divine Enchanteresse,
Naissant des jours latents de l’Amour révélé,
Le nectar captivant et cruel des Déesses.
VENUS venue de l’Enfer, Ange vénéré,
Le plasma galactique arborant l’œil d’Horus
Ouvre la Voie menant vers l’Astre d’Initié,
Cet espace secret, Royaume des Elus.
Dans Les Bras je me fonds, mon âme libérée,
De VENUS venue de l’Enfer. Mon existence
Orchestrée par les Dieux avec justesse s’imbrique
Pareil à un lego, gènes microscopiques,
Myriades racines de la Réminiscence,
Yggdrasil. Je me nourris de la sève, amère
Souffrance, mortelle et abondante. Je ris
O VENUS venue de l’Enfer, Divine mère,
Mécanique du Temps, symbiose de la Vie.